28 suggestions pour se faire du bien quand ça va moins bien

Nous avons tous des jours où tout semble aller de travers. Le stress monte, les frustrations s’accumulent, et parfois, c’est juste… trop. Ces jours-là, je les appelle des « jours POUÈT ». Un terme qui, je trouve, résume bien ce sentiment. Vous ne trouvez pas ?

Qu’il s’agisse d’une longue journée de travail ou de désaccords avec nos proches, il est essentiel de prendre du recul et de s’offrir un peu de tendresse. Ce que les anglophones appellent Tender Loving Care (TLC). Prendre soin de soi ne signifie pas toujours de grands gestes ; bien souvent, c’est dans les petites actions quotidiennes que l’on trouve du réconfort.

Voici 28 suggestions simples pour apaiser l’esprit, recharger le corps et nourrir l’âme. Vous verrez, un petit rien peut parfois faire beaucoup de bien !

Et c’est parti!


Pour apaiser le corps : se reconnecter physiquement

  1. Prendre un bain chaud ou une douche relaxante
    L’eau a ce pouvoir magique d’emporter nos tensions avec elle. Le simple fait de sentir l’eau couler peut vous apaiser. Ajoutez des huiles essentielles pour encore plus de détente.
  2. Faire 5 minutes de cohérence cardiaque
    La respiration consciente est un outil puissant. En quelques minutes, votre stress diminue et vous vous sentez plus aligné. Essayez ce tuto de cohérence cardiaque.
  3. S’étirer
    Prenez quelques minutes pour bouger votre corps. Les étirements aident à relâcher les tensions accumulées et à améliorer la circulation sanguine.
  4. Faire un peu d’exercice
    Même 10 minutes suffisent ! Bouger aide à dégager le stress et stimule la production d’endorphines. Choisissez une activité physique qui vous plaît.
  5. Boire de l’eau
    L’hydratation est souvent négligée mais elle est cruciale. En buvant plus d’eau, vous améliorez non seulement votre forme physique mais aussi mentale.
  6. Faire une sieste
    Prendre 20 minutes pour recharger ses batteries peut avoir un effet revitalisant et réinitialiser votre humeur.
  7. Exercice d’ancrage
    Si possible, marchez pieds nus sur le gazon pendant quelques minutes. Se reconnecter à la terre peut aider à stabiliser et calmer l’esprit.
  8. Porter des vêtements confortables
    Rien de mieux que de porter quelque chose de doux et agréable pour se sentir bien dans sa peau. Vous méritez le confort !

Pour calmer l’esprit : se recentrer sur l’essentiel

  1. Écrire ses ressentis
    Écrire est un acte thérapeutique. Mettez sur papier vos pensées et sentiments pour les libérer. Il n’est pas nécessaire d’avoir un plan ; laissez simplement couler les mots.
  2. Éteindre son téléphone
    Faire une pause des médias sociaux et notifications. La déconnexion digitale permet à votre esprit de se reposer, loin du bruit extérieur.
  3. Lire un bon livre
    Plonger dans une histoire vous permet de vous évader un moment et de relâcher les tensions. Un chapitre suffit parfois pour changer d’humeur.
  4. Essayer un nouveau hobby
    Apprendre quelque chose de nouveau, c’est un moyen de se concentrer sur autre chose que ses soucis tout en stimulant sa créativité.
  5. Éliminer le fouillis sur un petit espace
    Rangez un coin de votre bureau, votre cuisine ou votre salon. Faire de la place physiquement aide aussi à libérer l’esprit.
  6. Écrire une liste de gratitudes
    Reconnaître les belles choses de votre vie, même les petites, aide à mettre l’accent sur le positif. Écrire ce pour quoi vous êtes reconnaissant(e) est un exercice simple mais transformateur.
  7. Regarder une vidéo ou une émission amusante
    Parfois, tout ce dont on a besoin, c’est d’un bon fou rire. Une vidéo qui vous fait sourire ou une série légère peut égayer une journée morose.
  8. Faire plaisir à quelqu’un
    Offrir de la gentillesse à une autre personne peut vous remonter le moral. C’est un acte simple, mais gratifiant, qui diffuse du bien autour de vous.

Pour nourrir l’âme : se connecter avec soi-même et les autres

  1. Prendre l’air et marcher
    Marcher en pleine nature ou simplement faire le tour du quartier peut changer votre perspective. Respirez profondément, observez, reconnectez-vous à l’environnement qui vous entoure.
  2. Regarder le ciel
    Lever les yeux vers le ciel nous aide à relativiser nos soucis et à sentir que nous faisons partie de quelque chose de plus grand.
  3. Passer du temps avec un animal de compagnie
    Les animaux offrent un amour inconditionnel et un réconfort apaisant. Passer du temps avec eux est une source inépuisable de bonheur.
  4. Cuisiner quelque chose de simple
    Préparez-vous un repas ou une collation que vous aimez. Cuisiner peut être thérapeutique, surtout si vous vous offrez une petite douceur en récompense.
  5. Allumer une chandelle parfumée
    L’odeur réconfortante d’une bougie peut transformer l’ambiance de votre espace et apaiser vos sens. Essayez des senteurs relaxantes comme la lavande ou le bois de cèdre.
  6. Mettre de la musique joyeuse
    Créez ou trouvez une playlist qui vous met de bonne humeur et laissez la musique égayer votre journée. La playlist de nos Samedi MUSIKA est ici 
  7. Danser comme si personne ne vous regarde
    Lâchez prise, bougez au rythme de la musique et laissez-vous porter par l’instant. C’est une excellente façon de libérer des endorphines et de vous sentir plus léger.

Pour créer une atmosphère de bien-être : cocooning et réconfort

  1. Faire du yoga ou de la méditation
    Quelques minutes de yoga ou de méditation peuvent rétablir votre calme intérieur. C’est une manière douce de se recentrer.
  2. S’emmitoufler dans une doudou
    Se blottir dans une couverture chaude procure un sentiment de sécurité et de confort. C’est un geste simple mais incroyablement apaisant.
  3. Boire une boisson chaude
    Les boissons chaudes sont réconfortantes. Prenez un moment pour savourer une tasse de thé, café ou chocolat chaud en pleine conscience.
  4. Rire intentionnellement
    Le rire est contagieux et remplit d’énergie positive. Même de manière intentionnelle, le rire active des systèmes dans votre corps qui améliorent l’humeur et diminuent le stress. Essayez-le avec un ami ou rejoignez une session de yoga du rire ! MORAL BOOST est aussi là pour vous.
  5. Faites un peu de ménage
    Éliminez le désordre sur une petite surface. Juste assez pour donner de l’espace à votre cerveau qui se désembourbera aussi.

Conclusion : Se faire du bien, un petit geste à la fois

Il n’y a pas de bonne ou de mauvaise manière de prendre soin de soi. Que vous choisissiez une, deux ou toutes les suggestions de cette liste, l’essentiel est de trouver ce qui vous fait du bien. La vie est faite de hauts et de bas, et parfois, il suffit d’un petit coup de pouce pour remonter la pente.

Et si tout cela échoue, n’oubliez pas la 29ème suggestion : manger du chocolat ! 🍫Le chocolat aide la sécrétion d’endorphines et peut être un baume réconfortant lors des moments difficiles. Un petit carré de votre chocolat préféré peut faire des merveilles !

Prenez soin de vous, et surtout, vivez chaque instant avec légèreté et bienveillance. Vous le méritez !

Fermer la porte au monde pour rester dans notre cocon chaleureux, ça a ses avantages.

Ça repose des tracas du monde et ça fait du bien!

Prenez soin de vous!

Rire, joie et santé

Linda

 

Mes chroniques radio sur le 104,7fm

L’automne dernier (en 2023), j’ai eu le plaisir d’offrir des chroniques hebdomadaires à la radio 104,7fm.

Un beau défi!

On m’a confié le contenu de 17 semaines de conversations et de rire à l’émission du retour à la maison en fin d’après midi.

Parmi les thèmes explorés, j’ai proposé ceux-ci:

  • Combattre le stress de la rentrée,
  • Changer sa façon de voir les choses,
  • Rire et respirer,
  • Les bienfaits de l’autodérision,
  • Pleine conscience,
  • Apprendre à rire même lorsqu’on est contrarié…

L’animateur et les personnes en studio ont fait preuve d’une belle ouverture d’esprit pour m’accueillir et faire les exercices avec moi à chaque semaine! Je suis bien consciente que je les ai fait sortir de leur zone de confiance! HAHAHA!

Plusieurs personnes m’ont mentionné que ça les aidait beaucoup et qu’ils avaient hâte au mardi! Vous aurez compris que mes chroniques étaient au programme de l’émission du mardi.

Certains auditeurs ont eu un peu plus de difficulté à jouer le jeu mais dans l’ensemble, ce fut une bien belle expérience pour moi.

Pourquoi?

Parce que je partageais un outil infaillible pour changer son humeur et trouver une plus belle énergie à la fin de sa journée de travail. Moment plus stressant alors que plusieurs sont coincés dans la circulation!

Même moi j’étais testée lorsque je sortais des studios! Des bouchons presque chaque semaine. C’était devenu un « running gag »!

Bref, je vous donne ici le lien pour toutes les capsules audio. Je ne les aime pas toutes… mais j’aime les avoir faites!

Écoutez en une au hasard ou écoutez les toutes!

Voici le lien vers la série.

Grand merci aux responsables de la station pour la confiance et l’ouverture! Et grand merci aussi à l’animateur Frédéric Bisson avec qui j’ai eu des beaux moments de complicité.

Rire, joie et santé

Linda

Sur le deuil… perdre une amie

Perdre une amie…

Le mois dernier, j’ai enregistré une vidéo un peu inhabituelle. Très vulnérable et ouverte. Sans fard ni rouge à lèvres.

Pourquoi ai-je voulu faire cette vidéo?

Pour raconter. Pour me dévoiler… et pour partager.

Si vous avez déjà assisté à l’une de mes conférences ou un atelier, vous m’avez entendu raconter comment le yoga du rire était arrivé dans ma vie. Suite à un accident de voiture – un cadeau “mal emballé” comme j’aime à le dire.

Vous m’avez aussi entendue parler de mon amie Manon chez qui je logeais pendant mon weekend de formation d’animatrice de yoga du rire à Montréal. Ma “digne” et souriante amie psychologue, gestionnaire sérieuse et responsable. Celle-là même qui me regardait rire pendant que je lui montrais comment on fait le rire de l’accueil et qui me répliquait qu’il “fallait être là”!

Elle ne pigeait pas du tout l’idée de rire intentionnellement mais était tout de même amusée de me voir aussi enthousiasmée et pétillante alors que je lui expliquais ce que nous avions fait et ce que j’avais vécu en ce premier jour de formation.

Ma belle amie Manon est décédée subitement dans son lit chez elle il y a quelques jours. En cachette… 

N’ayant pas eu de réponse à mes appels ni à mes textos, j’avais décidé d’appeler sa cousine pour lui demander si je pouvais lui laisser quelque chose pour mon amie. Et c’est elle qui m’a annoncé la triste nouvelle…

Non seulement Manon était décédée mais personne de sa famille immédiate n’ayant accès à ses contacts, je ne l’ai appris qu’une fois les funérailles passées.

Ouf!

Le lendemain, je devais me rendre à Val David pour y enregistrer un épisode de podcast avec deux magnifiques personnes, Laura et William de DoshayogaCommunity. 

Laura s’inquiétant de mon  état et de mon moral – la nouvelle m’a énormément bouleversée – me proposait de reporter la rencontre. Mais sachant que je n’allais pas être disponible plus tard, j’ai choisi d’y aller. Malgré tout.

Vous allez comprendre pourquoi.

Pourquoi je suis allée?

Je suis celle qui vous parle de joie, de rire, de bonne humeur. 

Je partage avec vous des astuces pour prendre les choses avec plus de légèreté, de bienveillance, de pétillant!

Mais le chagrin, le deuil, les coups durs, ça fait aussi partie de la vie. Pour moi comme pour vous, ça fait partie de ma vie.

Repousser ses émotions par crainte du jugement, par peur d’être incapable de “remonter la pente”, de sortir du “trou”, c’est ce que plusieurs sont tentés de faire parfois. Quand c’est trop triste, trop difficile, on tente de mettre un baume temporaire pour ne pas souffrir. Certains boivent, certains prennent des pilules. Bref, vous voyez ce que je veux dire.

Comme le disait ma professeur d’université… Ce à quoi on résiste persiste.

Je n’ai pas souhaité forcer les choses et rire à tout prix. Non. J’ai plutôt choisi de montrer qu’on peut garder un cœur joyeux malgré les deuils et les moments difficiles de la vie.

Pendant que je riais doucement avec eux, je ne pensais pas à mon gros chagrin. Je vivais tout simplement. Et je me rappelais la joie d’avoir eu une femme aussi formidable dans ma vie. Je dirais presque que j’ai senti sa présence à mes côtés pendant ces moments dans ce lieu magique.

Je ne ris pas TOUT LE TEMPS! Cette semaine, j’ai souvent expérimenté les larmes. Et c’est OK! Je SAIS que mon rire est là… juste à côté.

Ce qui s’est produit

Il y a quelques jours, je proposais aux abonnés de l’infolettre de l’École de faire un exercice. L’exercice du point noir. 

Alors que je pleurais la perte de cette amie précieuse, une personne m’a donné une formidable leçon sans le savoir.

Dans son commentaire à ma publication FB, elle m’a rappelé de penser à tout ce qui reste, tout ce qui est. De ne pas rester sur ce qui manque, ce qui n’est plus. J’étais en train de l’oublier. (Oui! Même moi j’oublie parfois!) 

Une autre m’a fait beaucoup de bien en disant que “la peine du deuil, c’est l’amour qui ne sait plus trop où aller”. En la lisant, je me suis mise à diriger tout cet amour vers elle, vers mon amie, vers le ciel, vers les oiseaux, vers les fleurs, vers ma famille… ce qui reste. Et je me suis sentie mieux.

Larmes et rire

Les larmes sont les petites cousines du rire. Elles sont très proches parfois! Et elles font aussi partie de la vie.

Je suis comme vous. Je vis des défis, des deuils, des moments moins faciles. Mais je sais que le soleil brille au-dessus des nuages et je me concentre sur ce qui est et reste.

Relevons la tête. Regardons vers le ciel. Sourions légèrement. Célébrons ce qui a été et ce qui reste.

Merci de tout mon cœur ma belle Manon d’amour.  Merci de la belle trace que tu laisses dans ma vie et dans nos cœurs.

Rire, joie et santé

Linda

Un exercice à faire MAINTENANT

J’ai un chouette exercice à vous proposer aujourd’hui.

Comme bien des choses dans la vie, je l’ai découvert par hasard. « Mais Linda, le hasard n’existe pas! » me direz-vous! Sans doute, non. HAHAHA!

Je vous invite à faire ce formidable exercice MAINTENANT.

Là. Tout de suite. Sans réfléchir.  Vous verrez pourquoi. C’est tout simple mais ça parle très fort.

Prenez une feuille de papier et faites un petit point noir au milieu.

Vous l’avez fait?  Arrêtez de lire et FAITES-LE.

Voilà.

Maintenant, décrivez ce que vous voyez.

Prenez 3 minutes pour décrire ce que vous voyez. Ne trichez pas!  Arrêtez de lire et FAITES-LE!!!  POUR VRAI! Sur n’importe quel bout de papier mais FAITES-LE!  Sinon, regardez la photo et décrivez ce que vous voyez! HAHAHA!

Ensuite…

Regardez ce que vous avez écrit.

Parlez-vous du point noir?  De sa taille, De sa position sur la feuille? De sa couleur sombre?

ou…

Parlez-vous de toute la partie blanche sur la feuille?

Ce qui se passe

Le petit point noir, c’est comme les soucis, les ennuis de santé, les inquiétudes financières, tout le tralala qui nous préoccupe dans la vie.

Pensez-y un autre instant.

Les points noirs sont très petits quand on les compare avec tout ce que nous avons D’AUTRE dans nos vies. C’est pourtant eux qui polluent notre vie.

Alors quoi?

Éloignez de vos yeux les points noirs de votre vie et prenez conscience de tout ce que vous avez. Profitez de chacune de vos satisfactions, de chaque moment positif que la vie vous donne.

Voyez l’abondance autour de vous… et RIEZ PLUS!  Vous vivrez plus heureux.

 

Ma propre expérience

J’avais suggéré cet exercice aux abonnés de mes infolettres dans un courriel envoyé il y a quelques jours. Ce matin, alors que je parlais à une amie qui me partageait ses réflexions sur un sujet qui nous préoccupait, j’ai eu une révélation!

Je mettais l’accent sur le point noir!! Sur ce qui ne fonctionnait pas, ce qui me dérangeait, ce qui manquait! Et je ne voyais pas tout le reste qui était là fleurissant dans ma vie!

C’est fou!!!

D’en prendre conscience m’a tout de suite amenée à REGARDER et REMERCIER pour tout le reste.

Ce faisant, devinez ce qui s’est produit?

OUI! Le « point noir » a perdu de l’importance à mes yeux car le reste était éblouissant!

Vraiment. Chouette exercice!

Vous l’avez fait?

Dites-moi… si vous aussi aurez des révélations comme la mienne! HAHAHA!

Rire, joie et santé

Linda

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Un rituel du soir

Vous avez des rituels?

Je ne sais pas pour vous mais j’aime bien l’idée de ritualiser certains moments et événements de la vie.

Nous avons tous et toutes de ces rituels auxquels nous ne pensons pas: brosser ses dents après le repas, faire sa toilette le matin (ou en fin de journée), mettre le couvert le soir pour le petit déjeuner du lendemain (ma mère le fait!), boire une tasse d’eau chaude le matin (moi je le fais!).

J’en ai un qui me fait particulièrement du bien.

Depuis presqu’un an, chaque soir, je réponds à quatre questions dans un petit carnet où je consigne mes réflexions.

C’est en lisant un article publié par un homme qui écrivait pourquoi il aime tenir un journal que l’idée d’essayer m’est venue. Pas n’importe quel type de journal mais bien un où il répond à des questions bien précises le matin et le soir.

J’ai voulu tester son rituel du soir et, à ma grande surprise, je suis devenue complètement accro!

Même les soirs où je me mets au lit fatiguée après une longue journée, je m’applique à consigner mes réponses dans mon carnet.

Ce faisant, je constate que je m’endors en revoyant ma journée et en ayant mis l’accent sur quelque chose de positif la plupart du temps.

Mes observations

La première question m’amène à faire un retour sur l’ensemble de ma journée: Qu’est-ce que j’ai appris aujourd’hui?

C’est assez fascinant de constater que chaque jour, nous avons l’occasion d’apprendre quelque chose de nouveau! Parfois, c’est tout simple « J’ai appris que je peux chanter en italien – phonétique! » et d’autres fois, c’est plus technique « J’ai appris à utiliser un nouveau logiciel! »

La deuxième sur la conscience du plus grand et de l’invisible: Où ai-je vu ou senti la touche divine?

Elle est partout! Qu’est-ce que j’ai vu, entendu, senti, observé de BEAU, de généreux, d’aimable? Elle est là cette touche divine.

La troisième me fait observer mon évolution: En quoi suis-je différente?

Celle-là me donne parfois du fil à retordre! Mais je finis toujours par trouver quelque chose.  « Je suis plus patiente avec… » ou « Je me trouve moins… »

Et la dernière sur mes émotions au cours de la journée: Comment me suis-je sentie?

Ah ici, c’est comme le festival de couleurs! Je revois toute ma journée. « Amusée, triste, satisfaite, lucide, inquiète, sereine, aimée, aimante, souffrante, impatiente, frustrée, joyeuse, reconnaissante, légère… » Bien souvent, je constate que j’ai passé par toute une gamme d’émotions – comme un stroboscope qui clignote rapidement. Et je remercie pour tous ces signaux reçus.

Ma conclusion

J’ai réalisé que si je ne faisais pas cet exercice avant de m’endormir, c’est un peu comme si  j’oubliais ce que j’ai fait et qui j’ai été durant la journée!  Et de faire un tour d’horizon en répondant à ces questions me rend plus… humaine et consciente de ce que je vis.

Je vois que j’ai manqué de patience à un moment, qu’un événement m’a fait de la peine, que j’ai vibré devant la beauté, que j’ai entièrement apprécié quelque chose ou quelqu’un.

Mine de rien, c’est un peu comme si je me donne une tape sur l’épaule en me félicitant pour ce qui est « à mon goût », en me pardonnant pour « ce qui m’a fait trébucher » et en me disant que demain j’aurai une autre chance de continuer à apprendre!

J’aime vraiment beaucoup ce rituel.

Mon récent ajout à ce rituel

Il y a quelques semaines, j’ai commencé à noter une partie pour préparer le lendemain: Qu’est-ce que j’aimerais demander pour demain? 

Et je m’endors le cœur plus léger chaque soir.

Vous essaierez?

Si vous le faites, donnez m’en des nouvelles. Ça m’intéresse de savoir si vous vivez aussi des belles choses avec ce rituel d’écriture du soir.

HAHAmaste

Rire, joie et santé

Linda

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Célébrez mon anniversaire avec moi!

C’est vraiment bien de pouvoir continuer à célébrer des anniversaire vous trouvez pas?

Si vous me lisez depuis un bon moment, vous savez qu’habituellement, pour mon anniversaire, je fais un « tour de jardin ». Qu’est-ce que j’ai appris, réussi, créé au cours de l’année. De quoi je suis fière (et ce que j’ai avantage à améliorer aussi) et qui me rend heureuse.

J’ai bien l’intention de le refaire aujourd’hui! Beau temps ou pas, c’est un exercice important et qui me plait.

Petit retour en arrière

Une certaine année, j’ai eu un peu de difficulté avec le « nombre d’années que j’avais au compteur » et j’ai choisi de faire la liste de tout ce que j’ai appris depuis ma naissance. La liste a été étonnamment longue! HAHAHA!

Je vous dis que ça change l’attitude que nous avons envers le temps qui passe!

Mettre l’accent sur ce qui a été ajouté à ma vie plutôt que ce qui manque, ce qui n’est plus, les petits et grands deuils qui viennent avec l’âge, ce que j’avais rêvé de vivre mais n’ai pas accompli…

C’est LA bonne recette que j’avais expérimenté cette année-là!

Pourquoi je vous en parle?

Cette astuce infaillible s’est par la suite retrouvée dans l’un des modules de ce que j’ai créé avec deux formidables femmes, Geneviève et Marie-Josée sur l’ancienne plateforme Bien Et Heureux. Je parle ici du programme CHAQUE JOUR LA JOIE qui est maintenant vivant sur le site PlaneteJoie.com

J’ai compris il y a longtemps que pour moi, faire plaisir aux autres, c’est un puissant combustible à bonheur dans ma vie à moi!

Eh bien, pour mon anniversaire, je m’offre le cadeau de vous faire plaisir!

Notre cadeau (à vous et à moi!)

J’ai décidé de vous offrir un coupon de réduction de 33% sur l’inscription à ce parcours qui est très certainement mon chouchou!  HAHAPPY33

Je L’ADORE ce parcours sur Planetejoie! Il me rend fière de moi et de ce que j’ai créé. De savoir que vous en profiterez pour vous sentir plus heureux, ça contribue à mon bonheur à moi!

En faisant ce parcours, on réalise plusieurs choses et on change… pour le mieux! On se sent plus léger et plus heureux! Ce sont les personnes qui l’ont fait qui me l’ont dit! ÇA, c’est ce qui ME rempli le cœur de gratitude! De savoir que l’inspiration que j’ai reçue aide d’autres personnes, c’est magnifique!

Alors vous avez accès ce cadeau jusqu’au 29 juillet – 20 jours après mon anniversaire – pour profiter de ce coupon. Quel est-il? HAHAPPY33

Et ne me demandez pas mon âge! HAHAHA! J’vous l’dirai pas! HAHAHA!

Je file faire mon tour de jardin!

Et merci de vos vœux!!

HAHAHAHAHAHAHA!

Rire, joie et santé

Linda – on ne compte pas les années!

J’ai rencontré l’avocate!

J’ai une histoire abracadabrante à vous raconter. J’ai rencontré l’avocate!

Pas n’importe quelle avocate mais bien celle dont il était question dans l’article que j’ai lu alors que j’attendais mon tour pour mon soin  de physiothérapie en 2003. OUI!  Celle-là même en personne à qui je dois mon rayonnement actuel avec le yoga du rire! (si ça ne vous dit rien, allez écouter ceci et vous comprendrez mieux)

Imaginez ma joie

Le weekend dernier, j’étais maitresse de cérémonie pour la conférence de yoga du rire canadienne qui avait lieu à Canmore en Alberta. Gros boulot qui me demandait concentration, énergie, dynamisme et… préparation. Trois jours à échanger, inspirer, rire-rire-rire, connecter. Bref, c’était formidable! (et fort fatiguant!)

J’étais un peu à l’écart, à une table en train de finir de préparer la présentation de la prochaine intervenante quand j’ai eu une épiphanie.

Une belle femme était assise à une table près de moi. Je regarde son nom sur sa cocarde: Catherine Lawrence, Toronto, « chicken lady »…

J’ai levé les yeux vers elle et j’ai simplement dit à voix basse : « Are you a lawyer? »

Quand elle a dit oui, je me suis levée et l’ai prise dans mes bras! (Je crois que c’était la première fois qu’elle se faisait faire un câlin après avoir dit qu’elle était avocate! HAHAHA)

La belle blonde de l’article. Celle qui avait arrêté de pratiquer le droit pour offrir des programmes de rire dans les entreprises! C’était ELLE.

J’étais en présence de LA femme par qui mon histoire d’amour avec le yoga du rire a commencé!

Pensez-vous que j’étais incrédule de me retrouver devant celle qui tenait une cuiller de bois d’une main et un poulet de caoutchouc de l’autre sur la photo de la revue, 21 ans plus tard?  OH QUE OUI!

J’étais surtout reconnaissante de pouvoir lui dire directement à quel point cet article avait changé le cours de ma vie.

L’impact de nos actions

Avez-vous déjà pensé que chacun de nos gestes peut avoir un impact sur une ou plusieurs personnes sans même que nous le sachions?

  • Vous regardez un vêtement au magasin et hésitez à l’acheter. Finalement, vous ne le prenez pas. Une personne passe après et voit ce qui pourrait être le cadeau parfait pour son enfant et l’achète et fait un heureux.
  • À l’épicerie, vous laissez passer devant vous une personne qui n’a que deux articles à payer. Cette personne sort du magasin et sourit aux gens qu’elle croise. L’une d’elles traverse un moment difficile mais le sourire de cette inconnue lui réchauffe le coeur.
  • Les courtes vidéos que je verse sur les réseaux sociaux traversent les océans et font du bien à d’innombrables personnes!
  • INSÉREZ VOTRE EXEMPLE À VOUS…

Ça nous a fait du bien à toutes les deux de savoir que l’autre personne existait.

Dans mon cas, de savoir que la personne pour qui j’avais de la gratitude était bien là avec moi.

Et dans le sien, que cet article ait non seulement permis à la femme que j’étais de remettre du rire dans sa vie mais aussi qu’elle ait permis d’aider une multitude de personnes à travers le monde à se sentir plus joyeux à travers mes actions.

L’effet domino!

Tout comme « les ronds dans l’eau » qui vont de plus en plus loin. Un écho joyeux qui se répand dans le monde. Même si on ne le VOIT pas, il est bien là!

Alors ne vous privez pas de rire, de sourire, de respirer. Vous ne savez pas le nombre de vies qui seront impactées de ces actions toutes simples et bienfaisantes.

MERCI à Catherine Lawrence!

Et merci à vous qui me lisez.

HAHAmaste

Rire, joie et santé

Linda

 

Garder espoir

L’été dernier, je participais à un événement bien spécial. Le 60e anniversaire de fondation du Camp Claret du Lac Elgin.

Cette colonie de vacances a été fondée par un Père Clarétain, un jeune prêtre arrivé de l’Espagne avec une vision et une mission. Le Père Carmel Lerma.

À l’adolescence, j’ai eu la chance d’être campeuse dans cet endroit paradisiaque pendant 5 étés. La première année pendant 2 semaines et les années subséquentes, c’est tout l’été que j’y passais. Parce que mon père, professeur d’arts plastiques à l’école secondaire, avait été recruté par le Père Carmel à titre de coordonnateur.

Papa était alors en charge de la programmation des activités de tous les campeurs et toute la famille était au Lac Elgin pour l’été. Mon frère Luc et moi comme campeurs. Maman et mon frère Éric (trop jeune au début) au chalet.

L’été dernier, en 2023, en prévision de cette célébration, l’équipe qui organisait l’événement avait demandé aux invités de raconter un événement marquant de leur expérience au Camp.

Voici ce que j’ai envoyé.

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En quelle année environ s’est passé votre moment fort?  Oh je ne me souviens pas trop mais je pense que c’était en 1972.

J’étais campeuse à ce moment dans le groupe des Claire-Nature et papa était coordonnateur.

Mon moment fort

Nous étions parties en excursion au Mont Ham. Le temps était couvert et nous avons grimpé la montagne en après-midi. Le soir venu, nous dormions à la belle étoile, nous devions nous relayer pour garder le feu « vivant » afin d’éloigner les animaux, mais, curieusement, au petit matin quand le soleil nous a réveillées, le feu était éteint…  MAIS ce qui s’est présenté à mon regard a changé ma perception des choses pour toujours.

Il était très tôt et le soleil brillait fort dans le ciel, sur la montagne. En me redressant un peu, voici ce que j’ai vu. Le sommet du Mont Ham était « coupé » du reste du monde – un « tapis » de nuages s’étendait à perte de vue. Nous étions seules au monde sous le soleil éclatant!  C’était beau à couper le souffle. Je me souviens m’être émerveillée de ce que je voyais alors que mes amies campeuses semblaient trouver ça moins beau que moi!

Après avoir fermé bivouac, nous avons repris le sentier pour redescendre la montagne. Plus nous descendions, plus nous étions dans les nuages qui finalement sont devenus de la pluie une fois arrivées en bas.

Avant de retourner dans le minibus du Camp, je me souviens avoir regardé vers le ciel où on ne voyait pas du tout le sommet du Mont Ham (encore moins le soleil) et m’être dit que je ne devrais jamais oublier ce moment… car même si je ne le VOIS pas, le soleil brille quelque part.

Cette image m’accompagne encore. Je vous raconte ici et je la VOIS dans mon esprit!

Malgré les moments difficiles qui se présentent à nous dans la vie, le soleil brille quelque part… Alors garde espoir Linda!

Une expérience marquante

Ces images m’ont accompagnée toute ma vie depuis cet instant. Le soleil en haut des nuages.

Et je suis persuadée que ce que j’ai vécu en 1972 sur le haut de cette montagne, c’est ce qu’on appelle un moment de grâce. Le genre d’expérience qui transforme la perspective que nous avons des choses à tout jamais.

Si vous avez déjà pris l’avion un jour de pluie, vous savez ce que nous vivons quand l’avion dépasse la ligne de nuages.

Cette vision est aussi réelle que la pluie qui tombait sur la piste de décollage à votre départ!

Pluie au sol. Soleil plus haut!

Garde espoir (dites votre nom ici). Le soleil brille quelque part et si je m’élève au dessus de mes nuages, il est là.

Santé, rire et joie

Linda

Le regard des autres

Je n’oublierai jamais la première séance de yoga du rire où j’avais invitée une amie de Montréal.

Je n’oublierai pas non plus le regard affolé qu’elle avait pendant les exercices! C’était évident qu’elle se demandait dans quoi elle s’était « embarquée »! (Juste à y penser, je souris encore aujourd’hui)

Je venais de faire ma formation d’animatrice de yoga du rire au printemps 2003 et, j’étais ultra motivée à continuer à pratiquer mes exercices et déterminée à faire découvrir les bienfaits de la méthode à mes amies.

M (je l’appellerai M ici) avait accepté de m’accompagner pour une séance du club de rire de Montréal alors que j’étais de passage dans la ville, justement le jour où une rencontre avait lieu.

L’animateur commence la séance et le groupe se met en action avec les exercices.

Disons que son animation était différente de ce que j’avais pu expérimenter jusque là et je ne me sentais pas aussi confortable que lors de ma formation. Mais bon. J’étais là et je faisais.

C’est en voyant le regard affolé et perplexe de mon amie pendant que nous nous souhaitions la bienvenue en riant que je me suis vraiment mise à rire! Je SAVAIS tellement ce qu’elle était en train de penser!

Mais qu’est-ce que c’est ça? C’est insensé!

M a un beau sens de l’humour. C’est aussi une personne plutôt sérieuse. Si vous êtes familiers avec les types de personnalité en couleur, c’est une « bleue ».  Je la décrirais comme prudente et analytique. Ça ne veut pas dire qu’elle ne sait pas s’amuser mais ce programme de rire intentionnel la faisait sortir LOIN de sa zone de confort. TRÈS LOIN!

Le regard des autres

Je le constate dans les groupes avec qui je travaille. Une femme vient avec son partenaire de vie ou un ami. Ou encore des collègues de travail. La personne participe allégrement et rit de bon cœur pendant les exercices. Le partenaire, l’ami ou le collègue pas du tout. Et en plus, il ou elle regarde l’autre avec l’air de dire: « Tu m’en dois une toi!! »

Pas facile pour la personne qui constate que son invité ou collègue est en train de juger, a un regard réprobateur et éloquent.

J’en vois qui s’en amuse encore plus!

Un peu comme moi qui me suis mise à rire de plus belle en voyant à quel point mon amie ressemblait à un poisson hors de l’eau. Quand elle m’a vu pouffer de rire en constatant sa perplexité, elle s’est mise un peu à rire elle aussi. Elle savait que je savais!

Elle aurait très bien pu en être fâchée et penser que je riais d’elle. À bien y penser, ça pouvait ressembler à ça en effet. HAHA!

Ce qui s’est passé en fait, c’est que je la connais très bien et j’ai senti sa perplexité et son inconfort. Je savais!

Je m’en vais où avec tout ça?

HAHA! J’ai constaté au fil des années que rire intentionnellement, ce n’est sans doute pas possible pour tout le monde.

Même si physiquement ça l’est, le côté rationnel de certains est tellement fort qu’il empêche la personne de vivre pleinement l’expérience et de lâcher le mental.

Les grandes personnes responsables et sérieuses que nous devenons avec les années ont presque toutes un défi à ce niveau. Lâcher le mental pour rester dans l’expérience physique. Je le sais parce que je l’ai eu moi aussi ce défi.

De quoi j’ai l’air? Ce n’est pas drôle alors pourquoi je rirais? N’importe quoi…

C’est là que se donner la PERMISSION de faire quelque chose de différent est essentiel.

Le pire qui pourrait arriver?
  • Que nous ayons ri (même de rien) pendant quelques minutes.
  • Que nous nous sentions plus léger et moins stressé.
  • Que nous ayons pu tisser des liens positifs avec les personnes qui sont avec nous.
  • Que nous ayons pu être dans l’instant présent pendant un moment.
  • Que nous nous sentions libérés d’un poids.

Si c’est tout ça le pire, j’en veux du pire dans ma vie!

Personne ne peut juger ni évaluer qui que ce soit car tous font les exercices en même temps, au signal de la personne qui lance l’exercice. Nul n’est mis « sous le spot » car tous font la même chose, en même temps.

Je crois que c’est là que réside la beauté des séances de rire intentionnel pour les personnes qui auraient peur du jugement des autres. C’est impossible de juger quelqu’un alors que nous faisons la même chose qu’elle!

De rire tous en même temps « sur commande », ça a quelque chose de rassurant pour le mental qui pourrait être tenté de paniquer. HAHAHA! Rire rapproche.

Alors, la prochaine fois que vous surprendrez le regard d’une personne qui vous observe d’un air dubitatif et critique alors que vous riez intentionnellement, dites-vous simplement qu’il est possible qu’elle ne puisse pas lâcher son mental assez longtemps pour rire avec vous!

Et c’est très bien.

À chacun son choix.

J’ai fait le mien… Vous aussi?

Rire, joie et santé

Linda

P.S. Si j’avais arrêté de rire en voyant M ce jour-là parce que je me sentais jugée, vous ne liriez pas ceci aujourd’hui!

P.P.S. M est toujours mon amie! héhéhé!

 

Les trois principales réactions au stress

Je lisais l’infolettre de mon collègue Alain Samson ce matin alors que j’attendais en studio pour faire ma chronique télé à Ottawa.

Une phrase a particulièrement attiré mon attention. 

Il y cite Henri Laborit, médecin, chirurgien et neurobiologie français qui s’est fait connaître par la vulgarisation des neurosciences.

Selon Henri Laborit, en situation de stress, les individus ont tendance à réagir de trois manières principales: la fuite, l’agressivité ou l’immobilisation.

Il dit aussi que, face à une menace ou un stress intense, l’immobilisation est la réponse la moins coûteuse en énergie pour l’organisme.

Mon expérience

J’ai observé que, selon la situation, je vais réagir de ces trois manières moi aussi. 

Par exemple, quand je regarde l’heure et que je suis légèrement juste dans le temps, j’ai tendance à vouloir fuir. Comme dans marcher plus vite, conduire plus rapidement, bouger plus. Donc ici, ce serait la fuite.

Dans d’autres circonstances, je « fige ». Incapable de parler, de remuer, de penser. Devant une nouvelle bouleversante par exemple. Un peu comme si tout s’arrêtait. Immobilisation.

Concernant la réaction d’agressivité, je suis persuadée qu’il vous vient plusieurs situations en tête où nous devenons carrément agressif et impatient. Mouvements plus brusques, mâchoires serrées, voix plus forte (ou plus aigue).

Toutes ces réactions sont dues au stress perçu. Fascinant.

Selon la situation, nous réagissons tous ainsi. Par la fuite, l’agressivité ou l’immobilisation.

Ainsi et aussi autrement. Je répète, ce sont les trois principales réactions! Ça signifie qu’il y en a d’autres.

Qu’est-ce que ça pourrait être?

Hum… je pense à mon envie de pleurer parfois quand c’est un peu trop. Ou à ce que quelques personnes me disent – elles sont prises d’un fou rire irrépressible alors qu’elles vivent quelque chose de très stressant.

Rire ou pleurer.

Deux réactions qui permettent d’évacuer un peu de la tension engendrée par la situation vécue. On ressent tout de suite une certaine libération après avoir ri comme après avoir pleuré. Et j’utilise les deux aussi!

L’idée n’est pas de se juger (ou de juger qui que ce soit) mais simplement d’observer que les humains réagissent tous de certaines manières et que nous avons beaucoup de réactions en commun.

Et ça, c’est intéressant!

Quelle est VOTRE réponse?

Fuite? agressivité? ou immobilisation? Rire? Larmes?

Bonne journée!
Rire, joie et santé

Linda