Episode Fadi Brahimcha – L’importance du partage et de la célébration
Mon nom est Linda Leclerc et je suis fondatrice de l’école du Yoga du rire et du HAHA Sisterhood. Bienvenue dans l’élément joie, les balades au qui font du bien et qui inspirent. Cet épisode vous est présenté par l’école du yoga du rire qui vous propose une foule de thèmes pour vos activités, des conférences, des ateliers et des outils pour retrouver le plaisir de rire à volonté.
Fadi Brahim Chah. Pour moi, c’est une rock star dans son domaine, fait dit il y a vraiment le marketing dans le sens de parler d’un projet avec lui. C’est toute une expérience. J’en sais quelque chose puisque c’est à lui que je dois plusieurs choses depuis la fondation de l’école de yoga du rire mon programme maxi rire.
Le terme vient de lui. Il voit des possibilités là où moi je ne voyais rien, il voit grand et y réalise grand. Je vous l’ai dit, c’est une rock star dans son domaine. Je vous laisse écouter son épisode et découvrir son élément joie. Bonjour Félibrée Une charte ça va bien, ça va bien et toi et nous deux. On vient de terminer une réunion de travail, ça a été très très très stimulant.
Très je vraiment je suis Briand Moi-même Le temps n’est pas le bon mot en français, mais c’est juste pour dire que je suis très content. Fadi toi t’es chef d’entreprise? Oui, ton compte depuis quand même plusieurs années. Quinze ans, quinze ans à temps Oui facilement quinze ans. OK, le temps passe vite, te avait à peine huit ans.
Quand et comment cet ennemi? Il a dit il travaille dans le merveilleux monde, t’appelle ça du multimédia ou du marketing numérique. Donc ça c’est très très vaste et c’est le potentiel peut être assez infinie quand on a un budget. Oui, et donc toi, je sais que je te connais depuis longtemps et je sais que tu traverses toutes sortes de phase.
Tu nous a raconté quelque chose tout à l’heure. Tu disait qu’il y a certains moments où tu allais faire des présentations à des clients. Out était un peu en crise d’angoisse. On a longtemps. C’est ma première question. Qu’est ce que tu fais toi? Quand est très stressé, qu’est ce que tu fais pour relaxer, pour te permettre de fonctionner, de ralentir un peu?
La première chose que j’ai fait, c’est de l’exercice. l’exercice mettent beaucoup. L’exercice physique m’aide beaucoup à me gronder, donc la marche le matin, donc chaque matin, je marche, je cours, c’est peu importent, est à la maison, on peut un peu importe. Sinon, sur l’heure du midi aussi, je fais une session d’exercices de quinze à vingt minutes qui a énormément des petites explicable toutes sortes de choses comme ça.
Ça, ça m’aide beaucoup. Et quoi d’autre pour Me pour me calmer ou bien pour me relaxer. En fait, En réalité, je j’aime bien. J’aime bien regarder par exemple une émission que j’ai déjà vu plusieurs fois, qui rassure. A par exemple je ne sais pas une émission de réflexion de séries que j’ai déjà vu beaucoup comme de Crown.
Je vais regarder un épisode que j’ai vu deux cents fois la parce que c’est comme une espèce de référence, comme c’est rassurant, connaît les répliques. Je connais par coeur ça. Ça, ça me ramène donc quand il y a des. Mais j’ai de moins en moins ces périodes où je sens qu’il y a une angoisse exceptionnelles.
Très grosses, quantités livrables, c’est quelque chose à livrer. Que le dit Lina, proche que vous n’êtes pas tout à fait prêt, c’est de relativiser un peu tout ça parce que j’ai de moins en moins ces grosses angoisses par rapport à un livrable quelque chose, parce que je me dis si on n’est pas prêt à le faire.
Je préfère négocier en disant il y a une raison pour laquelle on n’est pas à présenter ou quoi que ce soit. Donc j’arrive à facilement dédramatiser la chose. Ça, ça aide beaucoup. Donc relativiser la chose de voir un autre, faire un pas de côté oui oui, puis c’est effectivement bien d’y faire un pas de côté.
Il y a un de mes amis qui ont aussi propriétaire de l’entreprise dans un domaine connexe. C’est dans la production vidéo qui m’a dit Tu sais quand arrive à cinquante ans, après cinquante ans, je dis oui, c’est beau à voir. Plus que cinquante ans, je dis pourquoi tu sors Robert? Il me dit parce que tu peux dire à quelqu’un tente pas puis Pita le droit.
Il y a quelque chose comme une espèce de Ta dame qui s’installe après, après avoir eu cinquante ans, qui fait que on dédramatise beaucoup plus rapide. Déjà cinquante ans Franchement, oui, ça fait déjà un petit bout donc et puis c’est ça, J’ai l’impression qu’on est capable de dire un peu plus avec beaucoup plus de sérénité.
Ça j’ai pas envie ou honnêtement, on va avoir besoin de plus de temps. Ou alors ça fait qu’on ne vit pas autant de drames et d’angoisse qu’on vivait dans la quarantaine je trouve. On sait imposer des choses un peu con fabriqué, un peu fabriquée. Et puis toi, je sais que comme les voyages, puis voyage dans des endroits qui des pays-bas est cuisine donc ça c’est déjà.
Tu utilises aussi beaucoup. Récemment, je n’ai pas parlé de cuisine parce que récemment, j’ai un peu mis de côté pour d’autres raisons. Mais je ne voulais pas manger non, pas du tout parce que je l’ai trop fait. Tu vois, pour d’autres raisons et en fait la raison. La cuisine est un élément qui relaxe énormément.
Pourquoi? Parce que il faut se se concentre sur l’aliment. On se concentre sur la mixité des saveurs. On se concentre sur beaucoup de choses et j’ai l’impression que parce qu’on se concentre tellement sur les éléments qu’on a devant nous, c’est quelque chose de très physique. donc on ne réfléchit plus à ce qui nous angoisse.
Réalité Oui, c’est vrai qu’il faut concentre. Beaucoup étaient en train de couper. Couper quelque chose se concentre sur la forme n’est pas en train de penser à mon Dieu. Qu’est ce qui va arriver avec ce dossier? Non, tranche le morceau de piment. C’est s’appuie ensuite moi, c’est ce qui m’allume beaucoup dans la cuisine, c’est de pouvoir combiner les saveurs.
Donc là, je me concentre davantage. C’est quelle est la bonne combinaison. C’est très créatif et ce que tu place sur ton ton. Comment ça s’appelle un profil instagram sur mon petit blog Instagram ou mon profil instagram, ça va, Ça s’appelle d’ailleurs mixité maîtrisé, mais c’est toujours beau. C’est des fois tu faisais des petites vidéos aussi avec des trucs et moi ça me fascinait parce que je me dis que je n’aurais pas pensé où je n’aurais pas imaginé mélanger ça avec sa.
Puis moi, c’est ma passion autour de mixité, c’est de pouvoir combiner des saveurs qui auparavant était pas nécessairement reconnu ou ensemble est la mixité des saveurs. C’est un peu célébrer la diversité et à la fois culturelle. Oui, c’est célébré beaucoup. La diversité des aliments, la diversité des saveurs, textures, c’est ce que j’allais dire parce que tu les aies couleur.
Et puis moi, je trouve toujours ça beau, donc tu vois, c’est pour ça que je me disais on ne parle pas. Et pourtant oui, t’as raison, mais c’est peut-être parce que pour le moment, c’est c’est moins présent, ça veut pas dire que ça revient pas, c’est cyclique. Des fois, c’est plus le sport, des fois c’est plus des fois, c’est plus les voyages.
J’ai voyagé récemment, j’ai voyagé à deux reprises pendant son voyage et pas pendant si longtemps. Et là, ça a été beaucoup plus ressources des voyages. Et puis ça t’arrive à toi des journées où tu te sens un peu triste? Oui, oui, maussade, plus mélancolique, ça peut, ça peut mélancolique, ça peut être. Qu’est ce que tu fais dans ce temps-là pour remonter le moral?
de la première chose que je l’accepte. Donc si une journée j’ai besoin de faire mettre un petit boulot dans mon livre, je le fais. Puis ça fait du bien parce que habituellement, quand on le fait après une heure ou deux je l’ai fait, j’ai passé à autre chose parce que quelque part, on en a peut-être un peu besoin, donc je sais de l’accepter.
Et puis sinon, c’est un petit peu de lecture de parler à une amie, un ami, ça aide énormément. Mais la première chose que je fais quand je me sens maussade est de l’accepter parce que c’est ça arrive, c’est un peu, c’est un peu normal. Ecoute traverse une sorte de phase toutes sortes de choses. Les deuils des pertes d’emplois, touche, séparation des trucs.
Et puis ces journées là, on ne peut pas les fuir. C’est en raison des formes, ça peut arriver, mais on travaille le matin, c’est comme raison. C’est OK de pouvoir le faire comme ça. Et puis ce serait quoi toi? Feat d’Ibrahim Chatonnay Les mangeoires? Qu’est ce qui te met en état de joie dans la vie? Ouais, c’est une très bonne question, je le sais, tu sais quoi?
Moi, mon élément de joie, c’est le partage d’un repas avec des amis. ça, c’est le plus grand élément de joie de se retrouver autour d’une table. Je J’ai toujours l’image de Fellini, le réalisateur qui son moment clé dans un tournage, c’était quand tout le monde mangeait autour de la table, sur l’heure du midi ou le soir.
pendant le tournage. Ça, c’est mon également de joie numéro un, c’est que dans la famille, vous êtes très e repas. Oui, en famille, avec la, c’est pas juste les frères et soeurs et les gens, les amis, les tentes, c’est la famille élargie. Je sais que pour moi, quand je pense, quand vous dites on ne repas avec mon cousin, c’est très oui, c’est joyeux.
Puis le cousin qui est là justement en visite, on on a fait ça tous les soirs. c’est chouette. Oui, je te remercie beaucoup a dit ça fait plaisir, ça fait plaisir.
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