Sur le deuil… perdre une amie

Perdre une amie…

Le mois dernier, j’ai enregistré une vidéo un peu inhabituelle. Très vulnérable et ouverte. Sans fard ni rouge à lèvres.

Pourquoi ai-je voulu faire cette vidéo?

Pour raconter. Pour me dévoiler… et pour partager.

Si vous avez déjà assisté à l’une de mes conférences ou un atelier, vous m’avez entendu raconter comment le yoga du rire était arrivé dans ma vie. Suite à un accident de voiture – un cadeau “mal emballé” comme j’aime à le dire.

Vous m’avez aussi entendue parler de mon amie Manon chez qui je logeais pendant mon weekend de formation d’animatrice de yoga du rire à Montréal. Ma “digne” et souriante amie psychologue, gestionnaire sérieuse et responsable. Celle-là même qui me regardait rire pendant que je lui montrais comment on fait le rire de l’accueil et qui me répliquait qu’il “fallait être là”!

Elle ne pigeait pas du tout l’idée de rire intentionnellement mais était tout de même amusée de me voir aussi enthousiasmée et pétillante alors que je lui expliquais ce que nous avions fait et ce que j’avais vécu en ce premier jour de formation.

Ma belle amie Manon est décédée subitement dans son lit chez elle il y a quelques jours. En cachette… 

N’ayant pas eu de réponse à mes appels ni à mes textos, j’avais décidé d’appeler sa cousine pour lui demander si je pouvais lui laisser quelque chose pour mon amie. Et c’est elle qui m’a annoncé la triste nouvelle…

Non seulement Manon était décédée mais personne de sa famille immédiate n’ayant accès à ses contacts, je ne l’ai appris qu’une fois les funérailles passées.

Ouf!

Le lendemain, je devais me rendre à Val David pour y enregistrer un épisode de podcast avec deux magnifiques personnes, Laura et William de DoshayogaCommunity. 

Laura s’inquiétant de mon  état et de mon moral – la nouvelle m’a énormément bouleversée – me proposait de reporter la rencontre. Mais sachant que je n’allais pas être disponible plus tard, j’ai choisi d’y aller. Malgré tout.

Vous allez comprendre pourquoi.

Pourquoi je suis allée?

Je suis celle qui vous parle de joie, de rire, de bonne humeur. 

Je partage avec vous des astuces pour prendre les choses avec plus de légèreté, de bienveillance, de pétillant!

Mais le chagrin, le deuil, les coups durs, ça fait aussi partie de la vie. Pour moi comme pour vous, ça fait partie de ma vie.

Repousser ses émotions par crainte du jugement, par peur d’être incapable de “remonter la pente”, de sortir du “trou”, c’est ce que plusieurs sont tentés de faire parfois. Quand c’est trop triste, trop difficile, on tente de mettre un baume temporaire pour ne pas souffrir. Certains boivent, certains prennent des pilules. Bref, vous voyez ce que je veux dire.

Comme le disait ma professeur d’université… Ce à quoi on résiste persiste.

Je n’ai pas souhaité forcer les choses et rire à tout prix. Non. J’ai plutôt choisi de montrer qu’on peut garder un cœur joyeux malgré les deuils et les moments difficiles de la vie.

Pendant que je riais doucement avec eux, je ne pensais pas à mon gros chagrin. Je vivais tout simplement. Et je me rappelais la joie d’avoir eu une femme aussi formidable dans ma vie. Je dirais presque que j’ai senti sa présence à mes côtés pendant ces moments dans ce lieu magique.

Je ne ris pas TOUT LE TEMPS! Cette semaine, j’ai souvent expérimenté les larmes. Et c’est OK! Je SAIS que mon rire est là… juste à côté.

Ce qui s’est produit

Il y a quelques jours, je proposais aux abonnés de l’infolettre de l’École de faire un exercice. L’exercice du point noir. 

Alors que je pleurais la perte de cette amie précieuse, une personne m’a donné une formidable leçon sans le savoir.

Dans son commentaire à ma publication FB, elle m’a rappelé de penser à tout ce qui reste, tout ce qui est. De ne pas rester sur ce qui manque, ce qui n’est plus. J’étais en train de l’oublier. (Oui! Même moi j’oublie parfois!) 

Une autre m’a fait beaucoup de bien en disant que “la peine du deuil, c’est l’amour qui ne sait plus trop où aller”. En la lisant, je me suis mise à diriger tout cet amour vers elle, vers mon amie, vers le ciel, vers les oiseaux, vers les fleurs, vers ma famille… ce qui reste. Et je me suis sentie mieux.

Larmes et rire

Les larmes sont les petites cousines du rire. Elles sont très proches parfois! Et elles font aussi partie de la vie.

Je suis comme vous. Je vis des défis, des deuils, des moments moins faciles. Mais je sais que le soleil brille au-dessus des nuages et je me concentre sur ce qui est et reste.

Relevons la tête. Regardons vers le ciel. Sourions légèrement. Célébrons ce qui a été et ce qui reste.

Merci de tout mon cœur ma belle Manon d’amour.  Merci de la belle trace que tu laisses dans ma vie et dans nos cœurs.

Rire, joie et santé

Linda

Un rituel du soir

Vous avez des rituels?

Je ne sais pas pour vous mais j’aime bien l’idée de ritualiser certains moments et événements de la vie.

Nous avons tous et toutes de ces rituels auxquels nous ne pensons pas: brosser ses dents après le repas, faire sa toilette le matin (ou en fin de journée), mettre le couvert le soir pour le petit déjeuner du lendemain (ma mère le fait!), boire une tasse d’eau chaude le matin (moi je le fais!).

J’en ai un qui me fait particulièrement du bien.

Depuis presqu’un an, chaque soir, je réponds à quatre questions dans un petit carnet où je consigne mes réflexions.

C’est en lisant un article publié par un homme qui écrivait pourquoi il aime tenir un journal que l’idée d’essayer m’est venue. Pas n’importe quel type de journal mais bien un où il répond à des questions bien précises le matin et le soir.

J’ai voulu tester son rituel du soir et, à ma grande surprise, je suis devenue complètement accro!

Même les soirs où je me mets au lit fatiguée après une longue journée, je m’applique à consigner mes réponses dans mon carnet.

Ce faisant, je constate que je m’endors en revoyant ma journée et en ayant mis l’accent sur quelque chose de positif la plupart du temps.

Mes observations

La première question m’amène à faire un retour sur l’ensemble de ma journée: Qu’est-ce que j’ai appris aujourd’hui?

C’est assez fascinant de constater que chaque jour, nous avons l’occasion d’apprendre quelque chose de nouveau! Parfois, c’est tout simple « J’ai appris que je peux chanter en italien – phonétique! » et d’autres fois, c’est plus technique « J’ai appris à utiliser un nouveau logiciel! »

La deuxième sur la conscience du plus grand et de l’invisible: Où ai-je vu ou senti la touche divine?

Elle est partout! Qu’est-ce que j’ai vu, entendu, senti, observé de BEAU, de généreux, d’aimable? Elle est là cette touche divine.

La troisième me fait observer mon évolution: En quoi suis-je différente?

Celle-là me donne parfois du fil à retordre! Mais je finis toujours par trouver quelque chose.  « Je suis plus patiente avec… » ou « Je me trouve moins… »

Et la dernière sur mes émotions au cours de la journée: Comment me suis-je sentie?

Ah ici, c’est comme le festival de couleurs! Je revois toute ma journée. « Amusée, triste, satisfaite, lucide, inquiète, sereine, aimée, aimante, souffrante, impatiente, frustrée, joyeuse, reconnaissante, légère… » Bien souvent, je constate que j’ai passé par toute une gamme d’émotions – comme un stroboscope qui clignote rapidement. Et je remercie pour tous ces signaux reçus.

Ma conclusion

J’ai réalisé que si je ne faisais pas cet exercice avant de m’endormir, c’est un peu comme si  j’oubliais ce que j’ai fait et qui j’ai été durant la journée!  Et de faire un tour d’horizon en répondant à ces questions me rend plus… humaine et consciente de ce que je vis.

Je vois que j’ai manqué de patience à un moment, qu’un événement m’a fait de la peine, que j’ai vibré devant la beauté, que j’ai entièrement apprécié quelque chose ou quelqu’un.

Mine de rien, c’est un peu comme si je me donne une tape sur l’épaule en me félicitant pour ce qui est « à mon goût », en me pardonnant pour « ce qui m’a fait trébucher » et en me disant que demain j’aurai une autre chance de continuer à apprendre!

J’aime vraiment beaucoup ce rituel.

Mon récent ajout à ce rituel

Il y a quelques semaines, j’ai commencé à noter une partie pour préparer le lendemain: Qu’est-ce que j’aimerais demander pour demain? 

Et je m’endors le cœur plus léger chaque soir.

Vous essaierez?

Si vous le faites, donnez m’en des nouvelles. Ça m’intéresse de savoir si vous vivez aussi des belles choses avec ce rituel d’écriture du soir.

HAHAmaste

Rire, joie et santé

Linda

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J’ai rencontré l’avocate!

J’ai une histoire abracadabrante à vous raconter. J’ai rencontré l’avocate!

Pas n’importe quelle avocate mais bien celle dont il était question dans l’article que j’ai lu alors que j’attendais mon tour pour mon soin  de physiothérapie en 2003. OUI!  Celle-là même en personne à qui je dois mon rayonnement actuel avec le yoga du rire! (si ça ne vous dit rien, allez écouter ceci et vous comprendrez mieux)

Imaginez ma joie

Le weekend dernier, j’étais maitresse de cérémonie pour la conférence de yoga du rire canadienne qui avait lieu à Canmore en Alberta. Gros boulot qui me demandait concentration, énergie, dynamisme et… préparation. Trois jours à échanger, inspirer, rire-rire-rire, connecter. Bref, c’était formidable! (et fort fatiguant!)

J’étais un peu à l’écart, à une table en train de finir de préparer la présentation de la prochaine intervenante quand j’ai eu une épiphanie.

Une belle femme était assise à une table près de moi. Je regarde son nom sur sa cocarde: Catherine Lawrence, Toronto, « chicken lady »…

J’ai levé les yeux vers elle et j’ai simplement dit à voix basse : « Are you a lawyer? »

Quand elle a dit oui, je me suis levée et l’ai prise dans mes bras! (Je crois que c’était la première fois qu’elle se faisait faire un câlin après avoir dit qu’elle était avocate! HAHAHA)

La belle blonde de l’article. Celle qui avait arrêté de pratiquer le droit pour offrir des programmes de rire dans les entreprises! C’était ELLE.

J’étais en présence de LA femme par qui mon histoire d’amour avec le yoga du rire a commencé!

Pensez-vous que j’étais incrédule de me retrouver devant celle qui tenait une cuiller de bois d’une main et un poulet de caoutchouc de l’autre sur la photo de la revue, 21 ans plus tard?  OH QUE OUI!

J’étais surtout reconnaissante de pouvoir lui dire directement à quel point cet article avait changé le cours de ma vie.

L’impact de nos actions

Avez-vous déjà pensé que chacun de nos gestes peut avoir un impact sur une ou plusieurs personnes sans même que nous le sachions?

  • Vous regardez un vêtement au magasin et hésitez à l’acheter. Finalement, vous ne le prenez pas. Une personne passe après et voit ce qui pourrait être le cadeau parfait pour son enfant et l’achète et fait un heureux.
  • À l’épicerie, vous laissez passer devant vous une personne qui n’a que deux articles à payer. Cette personne sort du magasin et sourit aux gens qu’elle croise. L’une d’elles traverse un moment difficile mais le sourire de cette inconnue lui réchauffe le coeur.
  • Les courtes vidéos que je verse sur les réseaux sociaux traversent les océans et font du bien à d’innombrables personnes!
  • INSÉREZ VOTRE EXEMPLE À VOUS…

Ça nous a fait du bien à toutes les deux de savoir que l’autre personne existait.

Dans mon cas, de savoir que la personne pour qui j’avais de la gratitude était bien là avec moi.

Et dans le sien, que cet article ait non seulement permis à la femme que j’étais de remettre du rire dans sa vie mais aussi qu’elle ait permis d’aider une multitude de personnes à travers le monde à se sentir plus joyeux à travers mes actions.

L’effet domino!

Tout comme « les ronds dans l’eau » qui vont de plus en plus loin. Un écho joyeux qui se répand dans le monde. Même si on ne le VOIT pas, il est bien là!

Alors ne vous privez pas de rire, de sourire, de respirer. Vous ne savez pas le nombre de vies qui seront impactées de ces actions toutes simples et bienfaisantes.

MERCI à Catherine Lawrence!

Et merci à vous qui me lisez.

HAHAmaste

Rire, joie et santé

Linda

 

Garder espoir

L’été dernier, je participais à un événement bien spécial. Le 60e anniversaire de fondation du Camp Claret du Lac Elgin.

Cette colonie de vacances a été fondée par un Père Clarétain, un jeune prêtre arrivé de l’Espagne avec une vision et une mission. Le Père Carmel Lerma.

À l’adolescence, j’ai eu la chance d’être campeuse dans cet endroit paradisiaque pendant 5 étés. La première année pendant 2 semaines et les années subséquentes, c’est tout l’été que j’y passais. Parce que mon père, professeur d’arts plastiques à l’école secondaire, avait été recruté par le Père Carmel à titre de coordonnateur.

Papa était alors en charge de la programmation des activités de tous les campeurs et toute la famille était au Lac Elgin pour l’été. Mon frère Luc et moi comme campeurs. Maman et mon frère Éric (trop jeune au début) au chalet.

L’été dernier, en 2023, en prévision de cette célébration, l’équipe qui organisait l’événement avait demandé aux invités de raconter un événement marquant de leur expérience au Camp.

Voici ce que j’ai envoyé.

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En quelle année environ s’est passé votre moment fort?  Oh je ne me souviens pas trop mais je pense que c’était en 1972.

J’étais campeuse à ce moment dans le groupe des Claire-Nature et papa était coordonnateur.

Mon moment fort

Nous étions parties en excursion au Mont Ham. Le temps était couvert et nous avons grimpé la montagne en après-midi. Le soir venu, nous dormions à la belle étoile, nous devions nous relayer pour garder le feu « vivant » afin d’éloigner les animaux, mais, curieusement, au petit matin quand le soleil nous a réveillées, le feu était éteint…  MAIS ce qui s’est présenté à mon regard a changé ma perception des choses pour toujours.

Il était très tôt et le soleil brillait fort dans le ciel, sur la montagne. En me redressant un peu, voici ce que j’ai vu. Le sommet du Mont Ham était « coupé » du reste du monde – un « tapis » de nuages s’étendait à perte de vue. Nous étions seules au monde sous le soleil éclatant!  C’était beau à couper le souffle. Je me souviens m’être émerveillée de ce que je voyais alors que mes amies campeuses semblaient trouver ça moins beau que moi!

Après avoir fermé bivouac, nous avons repris le sentier pour redescendre la montagne. Plus nous descendions, plus nous étions dans les nuages qui finalement sont devenus de la pluie une fois arrivées en bas.

Avant de retourner dans le minibus du Camp, je me souviens avoir regardé vers le ciel où on ne voyait pas du tout le sommet du Mont Ham (encore moins le soleil) et m’être dit que je ne devrais jamais oublier ce moment… car même si je ne le VOIS pas, le soleil brille quelque part.

Cette image m’accompagne encore. Je vous raconte ici et je la VOIS dans mon esprit!

Malgré les moments difficiles qui se présentent à nous dans la vie, le soleil brille quelque part… Alors garde espoir Linda!

Une expérience marquante

Ces images m’ont accompagnée toute ma vie depuis cet instant. Le soleil en haut des nuages.

Et je suis persuadée que ce que j’ai vécu en 1972 sur le haut de cette montagne, c’est ce qu’on appelle un moment de grâce. Le genre d’expérience qui transforme la perspective que nous avons des choses à tout jamais.

Si vous avez déjà pris l’avion un jour de pluie, vous savez ce que nous vivons quand l’avion dépasse la ligne de nuages.

Cette vision est aussi réelle que la pluie qui tombait sur la piste de décollage à votre départ!

Pluie au sol. Soleil plus haut!

Garde espoir (dites votre nom ici). Le soleil brille quelque part et si je m’élève au dessus de mes nuages, il est là.

Santé, rire et joie

Linda

Le regard des autres

Je n’oublierai jamais la première séance de yoga du rire où j’avais invitée une amie de Montréal.

Je n’oublierai pas non plus le regard affolé qu’elle avait pendant les exercices! C’était évident qu’elle se demandait dans quoi elle s’était « embarquée »! (Juste à y penser, je souris encore aujourd’hui)

Je venais de faire ma formation d’animatrice de yoga du rire au printemps 2003 et, j’étais ultra motivée à continuer à pratiquer mes exercices et déterminée à faire découvrir les bienfaits de la méthode à mes amies.

M (je l’appellerai M ici) avait accepté de m’accompagner pour une séance du club de rire de Montréal alors que j’étais de passage dans la ville, justement le jour où une rencontre avait lieu.

L’animateur commence la séance et le groupe se met en action avec les exercices.

Disons que son animation était différente de ce que j’avais pu expérimenter jusque là et je ne me sentais pas aussi confortable que lors de ma formation. Mais bon. J’étais là et je faisais.

C’est en voyant le regard affolé et perplexe de mon amie pendant que nous nous souhaitions la bienvenue en riant que je me suis vraiment mise à rire! Je SAVAIS tellement ce qu’elle était en train de penser!

Mais qu’est-ce que c’est ça? C’est insensé!

M a un beau sens de l’humour. C’est aussi une personne plutôt sérieuse. Si vous êtes familiers avec les types de personnalité en couleur, c’est une « bleue ».  Je la décrirais comme prudente et analytique. Ça ne veut pas dire qu’elle ne sait pas s’amuser mais ce programme de rire intentionnel la faisait sortir LOIN de sa zone de confort. TRÈS LOIN!

Le regard des autres

Je le constate dans les groupes avec qui je travaille. Une femme vient avec son partenaire de vie ou un ami. Ou encore des collègues de travail. La personne participe allégrement et rit de bon cœur pendant les exercices. Le partenaire, l’ami ou le collègue pas du tout. Et en plus, il ou elle regarde l’autre avec l’air de dire: « Tu m’en dois une toi!! »

Pas facile pour la personne qui constate que son invité ou collègue est en train de juger, a un regard réprobateur et éloquent.

J’en vois qui s’en amuse encore plus!

Un peu comme moi qui me suis mise à rire de plus belle en voyant à quel point mon amie ressemblait à un poisson hors de l’eau. Quand elle m’a vu pouffer de rire en constatant sa perplexité, elle s’est mise un peu à rire elle aussi. Elle savait que je savais!

Elle aurait très bien pu en être fâchée et penser que je riais d’elle. À bien y penser, ça pouvait ressembler à ça en effet. HAHA!

Ce qui s’est passé en fait, c’est que je la connais très bien et j’ai senti sa perplexité et son inconfort. Je savais!

Je m’en vais où avec tout ça?

HAHA! J’ai constaté au fil des années que rire intentionnellement, ce n’est sans doute pas possible pour tout le monde.

Même si physiquement ça l’est, le côté rationnel de certains est tellement fort qu’il empêche la personne de vivre pleinement l’expérience et de lâcher le mental.

Les grandes personnes responsables et sérieuses que nous devenons avec les années ont presque toutes un défi à ce niveau. Lâcher le mental pour rester dans l’expérience physique. Je le sais parce que je l’ai eu moi aussi ce défi.

De quoi j’ai l’air? Ce n’est pas drôle alors pourquoi je rirais? N’importe quoi…

C’est là que se donner la PERMISSION de faire quelque chose de différent est essentiel.

Le pire qui pourrait arriver?
  • Que nous ayons ri (même de rien) pendant quelques minutes.
  • Que nous nous sentions plus léger et moins stressé.
  • Que nous ayons pu tisser des liens positifs avec les personnes qui sont avec nous.
  • Que nous ayons pu être dans l’instant présent pendant un moment.
  • Que nous nous sentions libérés d’un poids.

Si c’est tout ça le pire, j’en veux du pire dans ma vie!

Personne ne peut juger ni évaluer qui que ce soit car tous font les exercices en même temps, au signal de la personne qui lance l’exercice. Nul n’est mis « sous le spot » car tous font la même chose, en même temps.

Je crois que c’est là que réside la beauté des séances de rire intentionnel pour les personnes qui auraient peur du jugement des autres. C’est impossible de juger quelqu’un alors que nous faisons la même chose qu’elle!

De rire tous en même temps « sur commande », ça a quelque chose de rassurant pour le mental qui pourrait être tenté de paniquer. HAHAHA! Rire rapproche.

Alors, la prochaine fois que vous surprendrez le regard d’une personne qui vous observe d’un air dubitatif et critique alors que vous riez intentionnellement, dites-vous simplement qu’il est possible qu’elle ne puisse pas lâcher son mental assez longtemps pour rire avec vous!

Et c’est très bien.

À chacun son choix.

J’ai fait le mien… Vous aussi?

Rire, joie et santé

Linda

P.S. Si j’avais arrêté de rire en voyant M ce jour-là parce que je me sentais jugée, vous ne liriez pas ceci aujourd’hui!

P.P.S. M est toujours mon amie! héhéhé!

 

Ce que j’ai appris au fil de mes années de yoga du rire

J’ai commencé à pratiquer le yoga du rire en 2003.  À ce moment, j’étais ce qu’on peut qualifier de gestionnaire sérieuse et stressée. Je ne suis pas certaine si les personnes qui travaillaient avec moi avaient cette perception car j’ai toujours été plutôt bon public et assez souriante.

Cependant, moi je considère que c’était ma réalité.  « Pressurisée » par les objectifs difficiles à atteindre, les deadlines serrés, la somme de travail requise…  Bref, une marmite sous pression continuelle.

Quand j’ai envoyé mon inscription pour le weekend de formation en mai 2003, je savais que j’allais vivre quelque chose de différent. Mais probablement pas à ce point!

Voici ce que j’ai appris

1. C’est moins difficile qu’on le croit de rire intentionnellement

Une fois que j’ai décidé de commencer à rire, que j’ai fait la motion physique de rire et que je sais que je dois rire pendant une minute au moins, je le fais. En plus, quand on rit en groupe, le simple fait d’entendre les autres, de les voir rire, de savoir qu’on est là justement pour ça – rire – a un effet de levier sur notre rire! Saviez-vous que nous avons un détecteur spécialement dédié au rire dans le cerveau?  Alors quand le détecteur détecte, devinez ce qui se passe!

Dans une séance de yoga du rire, nous commençons à rire tous en même temps, au signal de l’animateur. Quand il ou elle dit GO, nous y allons tous. Même lorsque je pratique seule, je m’entends rire et à chaque fois, je me surprends à penser que ça doit avoir l’air un peu ridicule de me voir rire toute seule comme ça et ÇA, ça me fait rire!

2. Certains exercices marchent mieux que d’autres

Je l’avoue. J’ai mes exercices préférés. Dans les séances que j’anime au club de rire, les mêmes personnes participent souvent chaque semaine. Je ne peux pas leur faire faire toujours la même routine. Alors je varie. Certains soirs, tous les exercices déclenchent mon rire rapidement. D’autres soirs, je regarde la liste que j’ai choisi de faire et je place une note de ne pas la reprendre dans le futur!  Bien sûr, je demande toujours au groupe s’ils ont aimé un nouvel exercice qui m’aurait moins plu. Si leur avis est favorable alors je le ramène pour eux. Mais pas pour moi! Le rire silencieux par exemple est un incontournable et il est terriblement efficace pour moi. Rire en silence fait appel à l’interdiction de rire!!!  Espiègle dites-vous?!

3. C’est définitivement un exercice d’aérobie

J’ai chaud, je suis essoufflée et mon visage est rouge! Ce n’est pas du jogging mais tout comme. C’est d’ailleurs une chose que je surveille quand je travaille avec un groupe. Comment sont les visages des participants. Le cœur bat plus rapidement, les poumons sont vivement sollicités… bref, « ça y va aux toasts » comme on le dit parfois au Québec! Ce qui signifie que c’est très énergique.  D’où l’importance de prendre le temps de bien respirer entre les exercices – ou pendant ma méditation du rire.

4. Je ris rarement aussi fort ni aussi longtemps au quotidien

Vrrrrrrrrrrrrrrrrraiment pas! Dans une séance de yoga du rire, je peux facilement rire pendant 20 minutes. Pas nécessairement d’affilé mais certainement 20 minutes au total. Au quotidien, mes éclats de rire ne durent que quelques secondes. Ici et là dans la journée. Et encore!  Ça c’est au cours des journées où je ne suis pas seule dans mon bureau ou que je suis particulièrement de bonne humeur. La plupart du temps, si je suis concentrée sur mon travail (que ce soit administratif, rédactionnel ou créatif), je ne sourirai même pas. Sauf bien sûr si je tiens une paille entre les dents. Je souris. Je ne ris pas. Donc une séance de yoga du rire, c’est formidable.

5. Je peux rire même quand je ne vais pas super bien

J’ai traversé toutes sortes de tempêtes personnelles au fil des 20 dernières années. Des deuils, des pertes d’emploi, des blessures physiques, des disputes… la même chose que tout le monde quoi. Je me souviens d’une soirée où je venais d’apprendre le décès d’une amie proche juste avant de partir pour le club de rire. J’ai pleuré en me rendant au centre communautaire puis, c’est comme si j’avais mis mon chagrin sur pause pendant l’heure de la séance. J’ai pu animer la rencontre et en retournant à ma voiture, j’ai recommencé à pleurer. Ce soir-là, j’ai constaté que pendant l’heure de la séance, pendant que je riais avec le groupe, je n’avais pas réfléchi, ni souffert de ma peine. J’avais été complètement dans l’instant présent avec les participants. La peine n’était pas disparue. Elle était juste « un peu à côté » pendant ces instants.

 

6. Je ne sens plus que je me force

Les gens me disent parfois qu’ils ne font pas la différence et ne savent pas si je ris « pour vrai » ou si je fais « comme si ». Et moi non plus! HAHAHA!  Je ne sens plus que je me force. Ça vient rapidement et ça reste si je décide de continuer. Je crois que ça doit être ça la capacité du corps à s’entraîner à faire quelque chose aisément et naturellement. Une fois que l’habitude est bien implantée, le corps réagi au premier signal de départ!  Un peu comme les fameux « chiens de Pavlov »!  C’est le meilleur conditionnement qu’on puisse souhaiter!

7. Après les séances, j’aime tout le monde

Ah ça c’est vrai. Je regarde les gens sur le trottoir et j’ai juste envie de les complimenter. Je les regarde et je les VOIS! Si je ressentais une certaine colère ou de l’impatience envers quelqu’un avant (Je suis normale! Ça m’arrive oui oui!), après la séance, ces sentiments n’y sont plus et ont fait place à l’ouverture et à la tolérance. Je ne dis pas que je pardonne tout par magie. Non. Ce qui se passe c’est que c’est mon cœur qui a pris la place. Pas juste ma tête. Remarquez comment vous regardez les personnes qui vous font rire. Ou celles qui vous entourent après un bon fou rire. C’est comme si on fait la belle place à… l’amour finalement! Moins de jugement et d’évaluation.

8. Rire me rend créative

Je dois faire un genre de bilan sur mes accomplissements des dernières 20 années et force m’est de reconnaître que rire me rend beaucoup plus créative! Bien sûr, je sais qu’en riant, j’active la partie gauche de mon cerveau, la partie reliée à l’imagination, l’amour, la créativité. Je crois que oui, le fait de rire stimule cette partie de mon cerveau. Par contre, je pense que tous ces exercices que j’ai créés en improvisant durant les séances à partir de ce que les participants partageaient avec moi, ça tient du JEU. J’ai certainement recommencé à jouer en pratiquant le yoga du rire. Parce que, rire est un jeu! Du moins, la manière dont nous démarrons les exercices, dont nous interprétons la réalité sous un jour plus ludique, c’est carrément une invitation au jeu. Qui dit jeu, dit créativité!

9. Je me fiche de ce que les autres pensent de moi quand j’anime une séance 

HAHAHA!  Je le sais que plusieurs doivent me regarder en pensant que je ne fais pas quelque chose de sérieux!  Que je suis peut-être même bizarre ou étrange ou… un peu folle! Je le sais parce que – je m’en confesse – c’est probablement ce que j’aurais pensé moi-même il y a 21 ans!  Pendant que j’anime une séance, je suis concentrée sur les participants. Sur leur teint, leurs visages, leurs sourires. Quand je suis avec un groupe, je les invite à commencer l’exercice tous en même temps et à me suivre. Personne ne peut juger qui que ce soit… sauf moi peut-être car je fais la démonstration avant de leur donner le GO.

Je SAIS à quel point ce que je leur fais faire est libérateur et bienfaisant. Alors ce que certains peuvent penser de moi? Je m’en fiche un peu!  L’important est de m’assurer que les choses soient bien faites pour un effet optimal. Je me trompe? J’en ris! Je ne dis pas le bon mot? J’en ris! Et croyez-moi, j’en fais des gaffes parfois! Je suis probablement le meilleur exemple pour RIRE DE SOI!

10. Tous sont beaux quand ils rient

Certainement. Je n’ai aucune hésitation à faire et énoncé! Les yeux brillent. Les joues sont plus roses. Une étincelle illumine le regard. Même les bouches édentées sont plus belles. Je lisais il y a longtemps que rire c’est bon pour le sex-appeal. Bon, je ne sais pas mais ce que je sais c’est que je n’ai jamais vu un visage sérieux être plus beau qu’un visage souriant. Si vous vous retenez de rire parce que vous n’aimez pas vos dents, n’arrêtez plus! On regarde les yeux quand on rit! En plus, c’est l’énergie que la personne dégage qui est ressentie. Une belle énergie positive, vibrante, aimante. Vous ne trouvez pas ça beau vous? HAHAHA!  Je pense comme vous.

 

 

C’est tout ça que j’ai appris… et encore plus! Parce que ma découverte principale, c’est que rire fait ressortir le meilleur en moi!

Vous riez avec moi vous voulez bien?

Rire, joie et santé

Linda

Mon petit déjeuner « Bonne Humeur »

Vous mangez le matin?

Moi oui!  et c’est même parfois mon repas préféré.

Il y a presque 4 ans maintenant, j’ai coupé la farine et le sucre de mon alimentation. Je sais que pour plusieurs, ça peut sembler IMPOSSIBLE – même pour moi au départ c’était comme une montagne dont le sommet était impossible à atteindre!

J’aime le pain (surtout frais sorti du four!). J’aime les pâtes – à toutes les sauces. J’aime les desserts et le chocolat.

Vous remarquez que je dis j’aime et non j’aimais? C’est voulu.

Ce n’est pas parce que je n’en mange plus que j’ai cessé d’aimer! HAHAHA!

Et parfois, je sens qu’il s’en faut de peu pour que ma volonté fléchisse. Mais non. Je me répète la même phrase que lorsque j’ai coupé la cigarette (Oui. J’ai déjà fumé!).

Ma super phrase?

Que je mange tout ça ou que je n’en mange pas, l’envie va passer.  Et ça passe!

Où je m’en vais avec ça?

Je vous disais que le petit déjeuner était même parfois mon repas préféré. Parce que certains matins, c’est la fiesta dans mon assiette!

Voici ma recette « Petit Déjeuner Fiesta ».

Ingrédients pour le « gâteau »

  • 1 banane (ou 4 on de banane) en purée (j’écrase à la fourchette)
  • 1 oeuf
  • ½ on de beurre de noix (j’utilise habituellement du beurre d’arachide naturel ou du beurre de noisette selon ce qui est à la maison)
  • 1/4 T de gruau rapide non cuit.
  • 1/4 c.à thé de poudre à pâte
  • 1 pincée de sel
  • ½ c.à thé vanille
  • 1 pincée de cannelle

Mélanger tout ça et mettre dans un ramequin ou une tasse.

Cuire au micro-ondes pendant 3 minutes.

Une fois cuit, placer sur une assiette et napper de la « sauce ».

Ingrédients pour la « sauce »

  • ½ on de beurre de noix
  • 1 à 2 c.à table d’eau chaude

Mélanger les deux à la cuiller et, si besoin, ajouter un peu d’eau pour obtenir une consistence de sauce (mais pas trop liquide)

Vous pouvez aussi choisir de garnir avec 1 c.à table comble de yogourt nature à la place de la « sauce »

Garnir avec 2 on de petits fruits ou de morceaux de banane.

Voilà!

Non seulement c’est savoureux mais en plus, c’est satisfaisant comme portion!

Pas de farine. Pas de sucre ajouté.

Plein d’énergie et de ventre content!

Vous m’en donnerez des nouvelles si vous essayez.

Et comme dirait Julia Child, Bon Appétit!

Rire, joie et santé

Linda

Célébrer les personnes qu’on aime

Vous prenez le temps de célébrer les personnes que vous aimez?

De faire un petit geste – un petit plus – pour leur faire plaisir, les faire sourire?

Préparer le petit déjeuner, les complimenter, faire un clin d’oeil en souriant, remarquer un détail positif… leur dire que vous les aimez.

Peu importe.

Vous faites ça vous?

Aujourd’hui, c’est l’anniversaire de ma mère.

J’ai pris le temps de faire la route pour passer quelques heures avec elle.

Et quand je dis « faire la route », je veux parler de rouler pendant 4 heures sur les autoroutes embourbées un jeudi après-midi pour célébrer son anniversaire et sa présence dans ma vie.

Je ne dis pas cela pour que vous pensiez « Oh quelle bonne fille pour sa mère! » HAHAHA!

Je vous partage cela parce que je crois que c’est vraiment important de CHOISIR où on met notre temps et nos énergies. Les PERSONNES (et non les choses) qui sont dans nos vies et qui comptent pour nous, on a avantage à les célébrer.

Cet été, j’ai lu quelque part un truc qui a fait image pour moi.  Celle d’un arbre.

Voici en gros ce que ça disait

Dans la vie, il y a des personnes qui sont comme des feuilles. Elles sont là un temps, puis elles partent avec le vent.

Puis, il y a d’autres personnes qui sont comme des branches. Elles sont là et résistent mais pas à tout. Puis elles tombent.

Il y a aussi des personnes qui sont comme le tronc de l’arbre. Elles sont solides et fortes et on peut compter sur elles pour rester.

Finalement, il y a les personnes qui sont comme les racines de l’arbre. Celles qui font que tout le reste tient debout, peut pousser, s’épanouir, devenir fort. La base quoi!

La leçon que j’en tire

Peu importe si vous êtes entouré de feuilles, de branches, de troncs ou de racines, sachez faire la distinction pour investir votre temps là où ça compte le plus.

Mais célébrez chaque partie de vos « arbres » car, sans les feuilles, nous n’aurions pas d’ombre ni de photosynthèse! Les branches – si petites soient-elles – retiennent les feuilles et… commencent leur vie à partir du tronc.  Les racines puisent leur force dans la terre et sans elles, rien ne tiendrait debout. Et chaque partie COMPTE.

Chaque personne est dans notre vie – que ce soit pour un temps de feuilles, un temps de branches, un temps de tronc ou un temps de racines.

Je pense que ça vaut la joie de célébrer chaque partie! Célébrons chaque personne comme elle le mérite.

Rire, joie et santé

Linda

 

Invitée par Mike the Chameleon

J’ai été invitée par Mike the Chameleon ce midi.

WOW!  J’ai eu une chouette expérience. Et j’ai appris un nouveau truc.

Avoir la chance d’être invitée par un type qui a 10MILLIONS d’abonnés sur TikTok, c’est quelque chose!!

La portée des enseignements de Mike the Chameleon est impressionnante.

Il enregistre des capsules linguistiques pour enseigner l’anglais et, même moi qui suis pourtant passablement bilingue, j’apprends des choses! HAHA!

Mais la manière dont il aborde les questions qu’il soulève dans ses vidéos est vraiment différente. Il ne se prend pas au sérieux! Il s’amuse et joue. C’est évident qu’il a du plaisir à faire ce qu’il fait. Et c’est fort probablement à sa personnalité chaleureuse et à sa manière ludique qu’il doit son si grand succès.

Toujours respectueux. Jamais déplacé, vulgaire, offensant. Il réussi à transmettre des connaissances avec bonne humeur.

J’adore!

Il y a quelques jours, il faisait une vidéo pour dire qu’il avait atteint 10 millions d’abonnés. Ça m’a carrément soufflée! Pour moi qui ai 194 000 abonnés (mes amis me disent tous que c’est ÉNORME!), la notion de rejoindre 10Millions de personnes, ça me souffle!

Je le trouve formidable et lui souhaite longue vie, du bonheur et de l’inspiration pour continuer à faire ce qu’il fait magistralement bien.

Vous le savez n’est-ce pas que l’on apprend plus facilement quand ça se passe dans la bonne humeur?  Lui il le sait certainement!!!

Vous voulez voir notre direct?  C’est par ici

Et gardons le sourire!

Linda (si vous me cherchez sur les plateformes Insta et TikTok, je suis lindahahasister)

 

Vous avez une bonne hygiène de vie?

Grande question. C’est important pour vous d’avoir une bonne hygiène de vie?

Est-ce que vous répondez oui à tout ceci?

  • Vous vous brossez les dents après chaque repas (ou au moins deux fois par jour!).
  • Vous mangez bien.
  • Vous buvez de l’eau.
  • Vous vous lavez.
  • Vous dormez 7 heures par nuit (quand tout va bien!).
  • Vous faites de l’exercice à quelques reprises chaque semaine (même si c’est de la marche, ça compte).
  • Vous prenez un peu de temps de loisirs.
  • Vous voyez des amis.
  • Vous prenez des vacances.
  • Vous riez de bon cœur plusieurs minutes par jour.

Vous avez dit OUI à tout ça?  Vous avez dit NON à un élément ou plus?  Alors il manque sérieusement quelque chose pour que vous ayez une bonne hygiène de vie. Et je suis prête à parier que ce qui manque, c’est le RIRE!

Je me trompe?

Quand on connaît tous les bienfaits d’un bon rire énergique (le genre qui fait bouger le ventre et qui est sonore), on se demande pourquoi on ne se permet pas de le faire assidument et quotidiennement!

Pourquoi on ne rit pas plus?

Parce que nous, les adultes, sommes dans notre tête!  et notre tête est pleine de soucis, de responsabilités, d’idées de performance, etc. Et quand la tête est pleine de « choses sérieuses et importantes », le sens de l’humour n’a pas de place pour s’amuser.

C’est pour ça que j’aime autant le yoga du rire. Parce que ça me permet de garder une bonne hygiène de vie et de rire à volonté même lorsque mon cerveau de grande personne est occupé à régler des problèmes de grande personne!! HAHAHA!

Une expérience

Vous voulez faire une expérience avec moi?

Je vous propose de faire l’exercice de cette vidéo d’une petite minute avec moi. Juste une minute de votre temps.

Et dites-moi si vous avez réussi – mais pour réussir, vous devez VOULOIR rire!

Dites-moi surtout comment vous vous sentez APRÈS coup.

Allez. Une minute. C’est parti!

Rire, joie et santé

Linda