Garder espoir

L’été dernier, je participais à un événement bien spécial. Le 60e anniversaire de fondation du Camp Claret du Lac Elgin.

Cette colonie de vacances a été fondée par un Père Clarétain, un jeune prêtre arrivé de l’Espagne avec une vision et une mission. Le Père Carmel Lerma.

À l’adolescence, j’ai eu la chance d’être campeuse dans cet endroit paradisiaque pendant 5 étés. La première année pendant 2 semaines et les années subséquentes, c’est tout l’été que j’y passais. Parce que mon père, professeur d’arts plastiques à l’école secondaire, avait été recruté par le Père Carmel à titre de coordonnateur.

Papa était alors en charge de la programmation des activités de tous les campeurs et toute la famille était au Lac Elgin pour l’été. Mon frère Luc et moi comme campeurs. Maman et mon frère Éric (trop jeune au début) au chalet.

L’été dernier, en 2023, en prévision de cette célébration, l’équipe qui organisait l’événement avait demandé aux invités de raconter un événement marquant de leur expérience au Camp.

Voici ce que j’ai envoyé.

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En quelle année environ s’est passé votre moment fort?  Oh je ne me souviens pas trop mais je pense que c’était en 1972.

J’étais campeuse à ce moment dans le groupe des Claire-Nature et papa était coordonnateur.

Mon moment fort

Nous étions parties en excursion au Mont Ham. Le temps était couvert et nous avons grimpé la montagne en après-midi. Le soir venu, nous dormions à la belle étoile, nous devions nous relayer pour garder le feu « vivant » afin d’éloigner les animaux, mais, curieusement, au petit matin quand le soleil nous a réveillées, le feu était éteint…  MAIS ce qui s’est présenté à mon regard a changé ma perception des choses pour toujours.

Il était très tôt et le soleil brillait fort dans le ciel, sur la montagne. En me redressant un peu, voici ce que j’ai vu. Le sommet du Mont Ham était « coupé » du reste du monde – un « tapis » de nuages s’étendait à perte de vue. Nous étions seules au monde sous le soleil éclatant!  C’était beau à couper le souffle. Je me souviens m’être émerveillée de ce que je voyais alors que mes amies campeuses semblaient trouver ça moins beau que moi!

Après avoir fermé bivouac, nous avons repris le sentier pour redescendre la montagne. Plus nous descendions, plus nous étions dans les nuages qui finalement sont devenus de la pluie une fois arrivées en bas.

Avant de retourner dans le minibus du Camp, je me souviens avoir regardé vers le ciel où on ne voyait pas du tout le sommet du Mont Ham (encore moins le soleil) et m’être dit que je ne devrais jamais oublier ce moment… car même si je ne le VOIS pas, le soleil brille quelque part.

Cette image m’accompagne encore. Je vous raconte ici et je la VOIS dans mon esprit!

Malgré les moments difficiles qui se présentent à nous dans la vie, le soleil brille quelque part… Alors garde espoir Linda!

Une expérience marquante

Ces images m’ont accompagnée toute ma vie depuis cet instant. Le soleil en haut des nuages.

Et je suis persuadée que ce que j’ai vécu en 1972 sur le haut de cette montagne, c’est ce qu’on appelle un moment de grâce. Le genre d’expérience qui transforme la perspective que nous avons des choses à tout jamais.

Si vous avez déjà pris l’avion un jour de pluie, vous savez ce que nous vivons quand l’avion dépasse la ligne de nuages.

Cette vision est aussi réelle que la pluie qui tombait sur la piste de décollage à votre départ!

Pluie au sol. Soleil plus haut!

Garde espoir (dites votre nom ici). Le soleil brille quelque part et si je m’élève au dessus de mes nuages, il est là.

Santé, rire et joie

Linda

Le regard des autres

Je n’oublierai jamais la première séance de yoga du rire où j’avais invitée une amie de Montréal.

Je n’oublierai pas non plus le regard affolé qu’elle avait pendant les exercices! C’était évident qu’elle se demandait dans quoi elle s’était « embarquée »! (Juste à y penser, je souris encore aujourd’hui)

Je venais de faire ma formation d’animatrice de yoga du rire au printemps 2003 et, j’étais ultra motivée à continuer à pratiquer mes exercices et déterminée à faire découvrir les bienfaits de la méthode à mes amies.

M (je l’appellerai M ici) avait accepté de m’accompagner pour une séance du club de rire de Montréal alors que j’étais de passage dans la ville, justement le jour où une rencontre avait lieu.

L’animateur commence la séance et le groupe se met en action avec les exercices.

Disons que son animation était différente de ce que j’avais pu expérimenter jusque là et je ne me sentais pas aussi confortable que lors de ma formation. Mais bon. J’étais là et je faisais.

C’est en voyant le regard affolé et perplexe de mon amie pendant que nous nous souhaitions la bienvenue en riant que je me suis vraiment mise à rire! Je SAVAIS tellement ce qu’elle était en train de penser!

Mais qu’est-ce que c’est ça? C’est insensé!

M a un beau sens de l’humour. C’est aussi une personne plutôt sérieuse. Si vous êtes familiers avec les types de personnalité en couleur, c’est une « bleue ».  Je la décrirais comme prudente et analytique. Ça ne veut pas dire qu’elle ne sait pas s’amuser mais ce programme de rire intentionnel la faisait sortir LOIN de sa zone de confort. TRÈS LOIN!

Le regard des autres

Je le constate dans les groupes avec qui je travaille. Une femme vient avec son partenaire de vie ou un ami. Ou encore des collègues de travail. La personne participe allégrement et rit de bon cœur pendant les exercices. Le partenaire, l’ami ou le collègue pas du tout. Et en plus, il ou elle regarde l’autre avec l’air de dire: « Tu m’en dois une toi!! »

Pas facile pour la personne qui constate que son invité ou collègue est en train de juger, a un regard réprobateur et éloquent.

J’en vois qui s’en amuse encore plus!

Un peu comme moi qui me suis mise à rire de plus belle en voyant à quel point mon amie ressemblait à un poisson hors de l’eau. Quand elle m’a vu pouffer de rire en constatant sa perplexité, elle s’est mise un peu à rire elle aussi. Elle savait que je savais!

Elle aurait très bien pu en être fâchée et penser que je riais d’elle. À bien y penser, ça pouvait ressembler à ça en effet. HAHA!

Ce qui s’est passé en fait, c’est que je la connais très bien et j’ai senti sa perplexité et son inconfort. Je savais!

Je m’en vais où avec tout ça?

HAHA! J’ai constaté au fil des années que rire intentionnellement, ce n’est sans doute pas possible pour tout le monde.

Même si physiquement ça l’est, le côté rationnel de certains est tellement fort qu’il empêche la personne de vivre pleinement l’expérience et de lâcher le mental.

Les grandes personnes responsables et sérieuses que nous devenons avec les années ont presque toutes un défi à ce niveau. Lâcher le mental pour rester dans l’expérience physique. Je le sais parce que je l’ai eu moi aussi ce défi.

De quoi j’ai l’air? Ce n’est pas drôle alors pourquoi je rirais? N’importe quoi…

C’est là que se donner la PERMISSION de faire quelque chose de différent est essentiel.

Le pire qui pourrait arriver?
  • Que nous ayons ri (même de rien) pendant quelques minutes.
  • Que nous nous sentions plus léger et moins stressé.
  • Que nous ayons pu tisser des liens positifs avec les personnes qui sont avec nous.
  • Que nous ayons pu être dans l’instant présent pendant un moment.
  • Que nous nous sentions libérés d’un poids.

Si c’est tout ça le pire, j’en veux du pire dans ma vie!

Personne ne peut juger ni évaluer qui que ce soit car tous font les exercices en même temps, au signal de la personne qui lance l’exercice. Nul n’est mis « sous le spot » car tous font la même chose, en même temps.

Je crois que c’est là que réside la beauté des séances de rire intentionnel pour les personnes qui auraient peur du jugement des autres. C’est impossible de juger quelqu’un alors que nous faisons la même chose qu’elle!

De rire tous en même temps « sur commande », ça a quelque chose de rassurant pour le mental qui pourrait être tenté de paniquer. HAHAHA! Rire rapproche.

Alors, la prochaine fois que vous surprendrez le regard d’une personne qui vous observe d’un air dubitatif et critique alors que vous riez intentionnellement, dites-vous simplement qu’il est possible qu’elle ne puisse pas lâcher son mental assez longtemps pour rire avec vous!

Et c’est très bien.

À chacun son choix.

J’ai fait le mien… Vous aussi?

Rire, joie et santé

Linda

P.S. Si j’avais arrêté de rire en voyant M ce jour-là parce que je me sentais jugée, vous ne liriez pas ceci aujourd’hui!

P.P.S. M est toujours mon amie! héhéhé!

 

La vie comme le jeu de Solitaire

Le soir souvent, pour me « ramollir » et m’amener à dormir, ou encore quand je ne dors pas la nuit, je sors mon vieil iPod et je joue au Solitaire.

Ne me jugez pas et ne me dites pas que la lumière bleue empêche de dormir! HAHAHA! Pour moi qui place la luminosité au minimum, c’est tout le contraire.

Et je continue à le faire parce que ça m’empêche de PENSER. Vous savez le petit hamster qui roule dans notre tête? Eh bien, je l’occupe avec ce jeu.

Je déplace les cartes pour faire des suites et tente de faire le plus rapidement possible pour battre mes records. Sans forcer ni stresser.

J’ai déjà réussi de compléter les suites en 51 secondes!  51 SECONDES!

Sur le tableau de statistiques des 15 réussites les plus rapides, je vois que ma plus lente performance était à 57 secondes.

Pourquoi je vous dis cela?  Pas pour me vanter (quoi que, je me trouve plutôt efficace! HAHA) mais bien pour vous partager une réflexion qui m’est venue en fin de semaine alors que je complétais les suites en une minute et d’autres fois en plus de 2 minutes.

Le FLOW

Vous connaissez cette expression, être dans le flow?  Quand tout va sur des roulettes, que les astres sont alignés, que tout baigne.

Bref, quand tout ce qu’on fait fonctionne parfaitement. Le flow j’imaginerais ça comme une route fraichement asphaltée sur laquelle nous roulons et où il y a peu de voitures pour nous ralentir ou nous arrêter.  Ça roule et ça roule « doux ». Vous voyez l’image?

J’ai constaté que, les fois où je réussis à faire les suites en une minute ou moins, on dirait que rien ne me ralenti. Les cartes sont faciles à placer. Je VOIS rapidement ce qui est possible. Mon doigt est agile et se déplace rapidement sur l’écran tactile. Et surtout… Surtout, on dirait que je suis hors du temps.

Je suis toujours étonnée de voir le résultat obtenu car je perds la notion du temps. Cette minute elle me semble une éternité! J’ai alors l’impression que j’ai mis beaucoup plus de temps pour réaliser toutes les suites et puis je vois 58 secondes!

C’est fou n’est-ce pas?

Le temps

Vous en faites des choses qui semblent prendre beaucoup de temps alors qu’au final ce n’est pas du tout le cas?

Je me souviens qu’adolescente, j’avais tellement hâte d’avoir 18 ans… ou 21 ans. Et comme le temps passait lentement! HAHAHA!

La notion que nous avons du temps est bien étrange.

Lorsqu’on attend notre tour pour voir le médecin qui nous fait attendre, c’est long. Et le spectacle de notre artiste préféré ne dure jamais assez longtemps.

Ça vous arrive aussi de constater que le temps, c’est une notion bien étrange?

Je reviens à mon jeu de Solitaire…

Il m’arrive aussi de « reprendre » des déplacements, de refaire une opération. Vous pensez peut-être que je « triche » mais je vois plutôt cela comme un repli stratégique pour tenter de réussir au final.

Lorsque cela se produit, c’est que j’ai manqué d’attention et j’ai loupé un coup. Quand je le VOIS, je retourne en arrière pour jouer mieux. Comme dans la vie.

D’autres fois encore, je me lance des défis et je me fiche du chronomètre: avoir mon année de naissance comme résultat (ça ne m’est arrivé qu’une seule fois jusqu’à maintenant), un nombre impair ou pair, un certain chiffre comme résultat final… Bref, tous les défis sont bons! Peu importe que je complète ou non la série, je suis satisfaite.  Comme dans la vie!

Bonne nuit!

Rire, joie et santé

Linda

 

 

 

Jeter l’éponge?

Je viens de lire quelque chose qui a éclairé quelque chose en moi. M’a donné espoir.

Lorsque vous avez envie de jeter l’éponge, je veux que vous vous souveniez de ceci :

Votre désir d’abandonner est une réaction temporaire et irréfléchie, alimentée par votre ego.

C’est une mauvaise journée ou une mauvaise semaine, pas une mauvaise vie.*

C’est TELLEMENT VRAI!

Ça vous est déjà arrivé aussi le genre de journée où rien ne va comme vous le souhaitez mais alors, vrrrrrraiment RIEN?  Un projet, une liste de choses à faire, des personnes à rencontrer, une tâche importante à terminer. Que sais-je!

Cette semaine, on dirait que les astres sont contre moi. (Je sais très bien que ça n’est pas possible qu’ils soient tous CONTRE moi! HAHA! c’est une image.)

Pffffffffffffff

Hier, à mon retour des studios télé où j’étais la toute première invitée pour la nouvelle émission de Claude Andréa Bonny (Tout Savoir), je me suis assise devant mon ordinateur avec la ferme intention de terminer la rédaction d’un document qui attend depuis longtemps d’être achevé. Je voulais le terminer avant la fin de la journée.

Hélas, j’avais oublié de placer mon téléphone au mode « ne pas déranger ». Alors oui. J’ai eu des appels – que je devais prendre. J’ai aussi placé des appels – à des personnes à qui je devais parler.

Ensuite, je me suis retrouvée à chercher un courriel mal placé parmi les centaines qui étaient restés dans la boîte de réception… et, vous savez ce que c’est! HAHAHA!  Tu cherches un message en particulier puis, tu en vois un qui demandait ton attention mais que tu as oublié de gérer. Alors tu t’en occupes « pendant que tu y es ».

De fil en aiguille, la matinée s’est terminée sans que j’aie même ouvert le document à achever!

« Pas grave, me direz-vous, il reste quand même tout l’après-midi« .

OUI MAIS…

Une certaine planète ne devait pas vouloir que je m’y mette car j’ai reçu par texto une demande urgente pour une cliente. Ça pressait car le comité de travail se rencontrait justement dans quelques heures alors j’avais avantage à répondre à toutes ses questions pour qu’elle ait en main toutes les données afin de faire approuver le projet de ma participation à leur « All-Staff ».

Une fois la rencontre avec elle terminée, j’ai dû aller sur ma plateforme de gestion de suivis en ligne. Et là, j’ai constaté que deux autres demandes attendaient une réponse.

Pour l’une d’entre elles, je voulais d’abord parler avec la personne embauchée pour faciliter les sessions de travail, histoire de vérifier vers quel moment mon programme s’insèrerait le mieux dans leur horaire et quel type d’intervention correspondrait le mieux à l’esprit de leur rencontre d’équipe.

Je connaissais cet animateur pour l’avoir croisé à plusieurs reprises dans le passé. Alors j’ai communiqué avec lui! Nous n’avions pas eu la chance de nous parler depuis fort longtemps alors nous avons quand même pris un minimum de temps pour nous dire bonjour!

Une fois les informations en main, j’ai donc pris le temps de préparer les propositions, de demander des précisions et d’envoyer les informations aux clients.

Et je retourne à mes courriels car, eh, je n’avais toujours pas retrouvé le message que je cherchais le matin! (je vous entends rire!)

Et la journée continue…le temps passe… et le temps passe…

Vers 16h45, j’ai fini par me dire que j’avais perdu vraiment beaucoup de temps et que la journée était magistralement ratée!

De toutes les tâches que j’avais l’intention de faire,  je ne pouvais en rayer AUCUNE de ma liste!

C’est frustrant. Et j’étais à la fois découragée (de moi) et déçue (de moi).

Ce que j’ai fait pour changer mon état d’esprit

J’ai ajouté deux petites choses qui ne me demandaient pas beaucoup d’énergie ni de temps à ma liste et je les ai faites tout de suite.

  • Envoyer un message de suivi à M.R.
  • Envoyer un message de suivi à P.H.

Et une qui avait été malgré tout accomplie tout au long de la journée.

  • Faire un petit ménage de mes courriels

J’ai coché ces trois choses et j’ai fermé le bureau pour la journée.  Basta. Ça ira mieux demain!

Ce matin, je lis la citation que vous voyez. Et je me sens mieux en la lisant (j’avais donc raison hier!  Ça va mieux aujourd’hui!)

Vous savez ce que je viens de faire?

Le rire des pleurs.

Oui oui!  Le rire des pleurs – bien senti!

D’ailleurs je vous invite à le faire avec moi. Parce que la situation ne changera pas. Je n’ai aucun contrôle sur ce qui se passe. J’ai du contrôle sur mon attitude.

Alors, ça va moins bien? Ça passera. Car tout passe.

C’est une mauvaise journée.

Une mauvaise semaine.

Pas une mauvaise vie!

Ça vous aide aussi de lire ceci?

De rien!

 

Rire, joie et santé

Linda

*: Merci Jill Celeste pour l’inspiration du matin!

N.B. Une des choses qu’on m’a apprise à l’université dans l’un des cours avec ma professeur préférée (Merci Nicole Bourget!) est que lorsqu’une personne répond « oui mais » c’est qu’elle dit en fait NON!  Vous le saviez?

P.S. Faut accepter que certains jours, notre cerveau refuse de fonctionner « normalement » parce que nous sommes préoccupés… c’est mon cas en ce moment.

Ce que j’ai appris au fil de mes années de yoga du rire

J’ai commencé à pratiquer le yoga du rire en 2003.  À ce moment, j’étais ce qu’on peut qualifier de gestionnaire sérieuse et stressée. Je ne suis pas certaine si les personnes qui travaillaient avec moi avaient cette perception car j’ai toujours été plutôt bon public et assez souriante.

Cependant, moi je considère que c’était ma réalité.  « Pressurisée » par les objectifs difficiles à atteindre, les deadlines serrés, la somme de travail requise…  Bref, une marmite sous pression continuelle.

Quand j’ai envoyé mon inscription pour le weekend de formation en mai 2003, je savais que j’allais vivre quelque chose de différent. Mais probablement pas à ce point!

Voici ce que j’ai appris

1. C’est moins difficile qu’on le croit de rire intentionnellement

Une fois que j’ai décidé de commencer à rire, que j’ai fait la motion physique de rire et que je sais que je dois rire pendant une minute au moins, je le fais. En plus, quand on rit en groupe, le simple fait d’entendre les autres, de les voir rire, de savoir qu’on est là justement pour ça – rire – a un effet de levier sur notre rire! Saviez-vous que nous avons un détecteur spécialement dédié au rire dans le cerveau?  Alors quand le détecteur détecte, devinez ce qui se passe!

Dans une séance de yoga du rire, nous commençons à rire tous en même temps, au signal de l’animateur. Quand il ou elle dit GO, nous y allons tous. Même lorsque je pratique seule, je m’entends rire et à chaque fois, je me surprends à penser que ça doit avoir l’air un peu ridicule de me voir rire toute seule comme ça et ÇA, ça me fait rire!

2. Certains exercices marchent mieux que d’autres

Je l’avoue. J’ai mes exercices préférés. Dans les séances que j’anime au club de rire, les mêmes personnes participent souvent chaque semaine. Je ne peux pas leur faire faire toujours la même routine. Alors je varie. Certains soirs, tous les exercices déclenchent mon rire rapidement. D’autres soirs, je regarde la liste que j’ai choisi de faire et je place une note de ne pas la reprendre dans le futur!  Bien sûr, je demande toujours au groupe s’ils ont aimé un nouvel exercice qui m’aurait moins plu. Si leur avis est favorable alors je le ramène pour eux. Mais pas pour moi! Le rire silencieux par exemple est un incontournable et il est terriblement efficace pour moi. Rire en silence fait appel à l’interdiction de rire!!!  Espiègle dites-vous?!

3. C’est définitivement un exercice d’aérobie

J’ai chaud, je suis essoufflée et mon visage est rouge! Ce n’est pas du jogging mais tout comme. C’est d’ailleurs une chose que je surveille quand je travaille avec un groupe. Comment sont les visages des participants. Le cœur bat plus rapidement, les poumons sont vivement sollicités… bref, « ça y va aux toasts » comme on le dit parfois au Québec! Ce qui signifie que c’est très énergique.  D’où l’importance de prendre le temps de bien respirer entre les exercices – ou pendant ma méditation du rire.

4. Je ris rarement aussi fort ni aussi longtemps au quotidien

Vrrrrrrrrrrrrrrrrraiment pas! Dans une séance de yoga du rire, je peux facilement rire pendant 20 minutes. Pas nécessairement d’affilé mais certainement 20 minutes au total. Au quotidien, mes éclats de rire ne durent que quelques secondes. Ici et là dans la journée. Et encore!  Ça c’est au cours des journées où je ne suis pas seule dans mon bureau ou que je suis particulièrement de bonne humeur. La plupart du temps, si je suis concentrée sur mon travail (que ce soit administratif, rédactionnel ou créatif), je ne sourirai même pas. Sauf bien sûr si je tiens une paille entre les dents. Je souris. Je ne ris pas. Donc une séance de yoga du rire, c’est formidable.

5. Je peux rire même quand je ne vais pas super bien

J’ai traversé toutes sortes de tempêtes personnelles au fil des 20 dernières années. Des deuils, des pertes d’emploi, des blessures physiques, des disputes… la même chose que tout le monde quoi. Je me souviens d’une soirée où je venais d’apprendre le décès d’une amie proche juste avant de partir pour le club de rire. J’ai pleuré en me rendant au centre communautaire puis, c’est comme si j’avais mis mon chagrin sur pause pendant l’heure de la séance. J’ai pu animer la rencontre et en retournant à ma voiture, j’ai recommencé à pleurer. Ce soir-là, j’ai constaté que pendant l’heure de la séance, pendant que je riais avec le groupe, je n’avais pas réfléchi, ni souffert de ma peine. J’avais été complètement dans l’instant présent avec les participants. La peine n’était pas disparue. Elle était juste « un peu à côté » pendant ces instants.

 

6. Je ne sens plus que je me force

Les gens me disent parfois qu’ils ne font pas la différence et ne savent pas si je ris « pour vrai » ou si je fais « comme si ». Et moi non plus! HAHAHA!  Je ne sens plus que je me force. Ça vient rapidement et ça reste si je décide de continuer. Je crois que ça doit être ça la capacité du corps à s’entraîner à faire quelque chose aisément et naturellement. Une fois que l’habitude est bien implantée, le corps réagi au premier signal de départ!  Un peu comme les fameux « chiens de Pavlov »!  C’est le meilleur conditionnement qu’on puisse souhaiter!

7. Après les séances, j’aime tout le monde

Ah ça c’est vrai. Je regarde les gens sur le trottoir et j’ai juste envie de les complimenter. Je les regarde et je les VOIS! Si je ressentais une certaine colère ou de l’impatience envers quelqu’un avant (Je suis normale! Ça m’arrive oui oui!), après la séance, ces sentiments n’y sont plus et ont fait place à l’ouverture et à la tolérance. Je ne dis pas que je pardonne tout par magie. Non. Ce qui se passe c’est que c’est mon cœur qui a pris la place. Pas juste ma tête. Remarquez comment vous regardez les personnes qui vous font rire. Ou celles qui vous entourent après un bon fou rire. C’est comme si on fait la belle place à… l’amour finalement! Moins de jugement et d’évaluation.

8. Rire me rend créative

Je dois faire un genre de bilan sur mes accomplissements des dernières 20 années et force m’est de reconnaître que rire me rend beaucoup plus créative! Bien sûr, je sais qu’en riant, j’active la partie gauche de mon cerveau, la partie reliée à l’imagination, l’amour, la créativité. Je crois que oui, le fait de rire stimule cette partie de mon cerveau. Par contre, je pense que tous ces exercices que j’ai créés en improvisant durant les séances à partir de ce que les participants partageaient avec moi, ça tient du JEU. J’ai certainement recommencé à jouer en pratiquant le yoga du rire. Parce que, rire est un jeu! Du moins, la manière dont nous démarrons les exercices, dont nous interprétons la réalité sous un jour plus ludique, c’est carrément une invitation au jeu. Qui dit jeu, dit créativité!

9. Je me fiche de ce que les autres pensent de moi quand j’anime une séance 

HAHAHA!  Je le sais que plusieurs doivent me regarder en pensant que je ne fais pas quelque chose de sérieux!  Que je suis peut-être même bizarre ou étrange ou… un peu folle! Je le sais parce que – je m’en confesse – c’est probablement ce que j’aurais pensé moi-même il y a 21 ans!  Pendant que j’anime une séance, je suis concentrée sur les participants. Sur leur teint, leurs visages, leurs sourires. Quand je suis avec un groupe, je les invite à commencer l’exercice tous en même temps et à me suivre. Personne ne peut juger qui que ce soit… sauf moi peut-être car je fais la démonstration avant de leur donner le GO.

Je SAIS à quel point ce que je leur fais faire est libérateur et bienfaisant. Alors ce que certains peuvent penser de moi? Je m’en fiche un peu!  L’important est de m’assurer que les choses soient bien faites pour un effet optimal. Je me trompe? J’en ris! Je ne dis pas le bon mot? J’en ris! Et croyez-moi, j’en fais des gaffes parfois! Je suis probablement le meilleur exemple pour RIRE DE SOI!

10. Tous sont beaux quand ils rient

Certainement. Je n’ai aucune hésitation à faire et énoncé! Les yeux brillent. Les joues sont plus roses. Une étincelle illumine le regard. Même les bouches édentées sont plus belles. Je lisais il y a longtemps que rire c’est bon pour le sex-appeal. Bon, je ne sais pas mais ce que je sais c’est que je n’ai jamais vu un visage sérieux être plus beau qu’un visage souriant. Si vous vous retenez de rire parce que vous n’aimez pas vos dents, n’arrêtez plus! On regarde les yeux quand on rit! En plus, c’est l’énergie que la personne dégage qui est ressentie. Une belle énergie positive, vibrante, aimante. Vous ne trouvez pas ça beau vous? HAHAHA!  Je pense comme vous.

 

 

C’est tout ça que j’ai appris… et encore plus! Parce que ma découverte principale, c’est que rire fait ressortir le meilleur en moi!

Vous riez avec moi vous voulez bien?

Rire, joie et santé

Linda

Célébrer les personnes qu’on aime

Vous prenez le temps de célébrer les personnes que vous aimez?

De faire un petit geste – un petit plus – pour leur faire plaisir, les faire sourire?

Préparer le petit déjeuner, les complimenter, faire un clin d’oeil en souriant, remarquer un détail positif… leur dire que vous les aimez.

Peu importe.

Vous faites ça vous?

Aujourd’hui, c’est l’anniversaire de ma mère.

J’ai pris le temps de faire la route pour passer quelques heures avec elle.

Et quand je dis « faire la route », je veux parler de rouler pendant 4 heures sur les autoroutes embourbées un jeudi après-midi pour célébrer son anniversaire et sa présence dans ma vie.

Je ne dis pas cela pour que vous pensiez « Oh quelle bonne fille pour sa mère! » HAHAHA!

Je vous partage cela parce que je crois que c’est vraiment important de CHOISIR où on met notre temps et nos énergies. Les PERSONNES (et non les choses) qui sont dans nos vies et qui comptent pour nous, on a avantage à les célébrer.

Cet été, j’ai lu quelque part un truc qui a fait image pour moi.  Celle d’un arbre.

Voici en gros ce que ça disait

Dans la vie, il y a des personnes qui sont comme des feuilles. Elles sont là un temps, puis elles partent avec le vent.

Puis, il y a d’autres personnes qui sont comme des branches. Elles sont là et résistent mais pas à tout. Puis elles tombent.

Il y a aussi des personnes qui sont comme le tronc de l’arbre. Elles sont solides et fortes et on peut compter sur elles pour rester.

Finalement, il y a les personnes qui sont comme les racines de l’arbre. Celles qui font que tout le reste tient debout, peut pousser, s’épanouir, devenir fort. La base quoi!

La leçon que j’en tire

Peu importe si vous êtes entouré de feuilles, de branches, de troncs ou de racines, sachez faire la distinction pour investir votre temps là où ça compte le plus.

Mais célébrez chaque partie de vos « arbres » car, sans les feuilles, nous n’aurions pas d’ombre ni de photosynthèse! Les branches – si petites soient-elles – retiennent les feuilles et… commencent leur vie à partir du tronc.  Les racines puisent leur force dans la terre et sans elles, rien ne tiendrait debout. Et chaque partie COMPTE.

Chaque personne est dans notre vie – que ce soit pour un temps de feuilles, un temps de branches, un temps de tronc ou un temps de racines.

Je pense que ça vaut la joie de célébrer chaque partie! Célébrons chaque personne comme elle le mérite.

Rire, joie et santé

Linda

 

Mon podcast c’est mon bricolage!

Et j’ADORE bricoler!  Je le ferais plus si j’avais plus de temps.

Vous avez peut-être remarqué que je suis plus active en ce moment avec les épisodes de mon podcast, l’Élément JOIE!

Pour moi, mon podcast, c’est comme mon bricolage!  J’en fais quand j’ai le temps.

Mais en ce moment, je PRENDS le temps parce que j’ai plusieurs enregistrements qui demandent à voir le jour! HAHAHA!

Rien ne se fait tout seul

Prendre contact avec les personnes. Puis trouver un moment qui nous convienne à tous les deux. Enregistrer la conversation. Faire la photo. Tout ça c’est déjà du sport parfois!

Et une fois que l’enregistrement est fait, c’est loin d’être fini!

Il reste à enregistrer l’introduction, faire le montage, ajuster le son, téléverser sur la plateforme, écrire le texte accompagnant l’épisode, ajouter la photo de l’invité.e, programmer la date de diffusion, partager l’épisode sur les réseaux.

Tout ça, c’est chouette à faire!  C’est comme du bricolage. Cependant, faut s’y mettre!

Un « labour of love »

Depuis quelques semaines, j’ai eu la chance de pouvoir réaliser plusieurs enregistrements. Sans doute parce que c’est l’été, les invités sont plus disponibles – et moi aussi!

Ce qui fait que les prochains épisodes seront diffusés chaque mardi aux deux semaines. J’en ai programmés jusqu’en novembre. C’est t’y pas chouette tout ça?

Vous voulez une idée des personnes à venir?

J’ai créé une série « Mes Amis Magnifiques » pour donner le micro à des personnes de mon entourage que je trouve tout simplement magnifiques – et inspirantes à plusieurs égards. Il y a donc une gestionnaire, un retraité passionné d’histoire, une religieuse, une diplômée en sexologie… et quelques autres surprises!

Mon objectif reste le même: partager avec vous des pépites d’inspiration, des astuces et moyens qui nous aideraient peut-être un peu à vivre moins stressé et plus joyeux.

Les rencontres d’enregistrement, je vous avoue que c’est du BONBON!  Chaque fois tant l’invité que moi avons les yeux brillants à la fin de ce moment partagé. Les yeux brillants et le sourire aux lèvres.

Vous savez ce que la plupart me dise après coup?

Ça m’a fait beaucoup de bien de penser à tout ça. De me souvenir que j’ai ça, que je fais ça, que je VIS tout ça!  MERCI!

À vous d’en profiter!

Tous les épisodes sont répertoriés ici mais vous pouvez vous abonner sur la plupart des plateformes de streaming.

En attendant le prochain épisode, gardons le sourire!

Linda

Invitée par Mike the Chameleon

J’ai été invitée par Mike the Chameleon ce midi.

WOW!  J’ai eu une chouette expérience. Et j’ai appris un nouveau truc.

Avoir la chance d’être invitée par un type qui a 10MILLIONS d’abonnés sur TikTok, c’est quelque chose!!

La portée des enseignements de Mike the Chameleon est impressionnante.

Il enregistre des capsules linguistiques pour enseigner l’anglais et, même moi qui suis pourtant passablement bilingue, j’apprends des choses! HAHA!

Mais la manière dont il aborde les questions qu’il soulève dans ses vidéos est vraiment différente. Il ne se prend pas au sérieux! Il s’amuse et joue. C’est évident qu’il a du plaisir à faire ce qu’il fait. Et c’est fort probablement à sa personnalité chaleureuse et à sa manière ludique qu’il doit son si grand succès.

Toujours respectueux. Jamais déplacé, vulgaire, offensant. Il réussi à transmettre des connaissances avec bonne humeur.

J’adore!

Il y a quelques jours, il faisait une vidéo pour dire qu’il avait atteint 10 millions d’abonnés. Ça m’a carrément soufflée! Pour moi qui ai 194 000 abonnés (mes amis me disent tous que c’est ÉNORME!), la notion de rejoindre 10Millions de personnes, ça me souffle!

Je le trouve formidable et lui souhaite longue vie, du bonheur et de l’inspiration pour continuer à faire ce qu’il fait magistralement bien.

Vous le savez n’est-ce pas que l’on apprend plus facilement quand ça se passe dans la bonne humeur?  Lui il le sait certainement!!!

Vous voulez voir notre direct?  C’est par ici

Et gardons le sourire!

Linda (si vous me cherchez sur les plateformes Insta et TikTok, je suis lindahahasister)

 

Trouvez un partenaire de rire

Je ne me souviens plus où ni quand mais j’ai lu un article qu’un ami écrivait, dans lequel il mentionnait qu’il était important d’avoir un « partenaire de rire ». L’idée vous fait peut-être sourire mais elle est excellente!

Lorsque je forme des animateurs et animatrices de yoga du rire, je les invite toujours à repérer les personnes qui les aident à rire dans leur vie.

Pourquoi?

Pour la simple raison que ces personnes nous aident à rester en santé!

L’élément social de nos vies en a pris pour son rhume depuis le début de la pandémie. Nous ne nous sommes pas vus pendant des mois! Et pour la vaste majorité, l’isolement a été plus que lourd sur le moral.

Peu importe que nous soyons en train de traverser une période houleuse, stressante ou pas, les personnes de notre entourage qui nous font rire sont des « services essentiels »! Des anges gardiens. Des bouées de sauvetage.

Regardez autour de vous. Je suis certaine que si vous y pensez, vous trouverez une ou plusieurs personnes qui vous font rire quand vous les rencontrez ou quand vous leur parlez.

C’est de celles-là dont vous avez besoin de vous entourer. Pour créer un réseau positif qui vous permet de garder la forme!

En 2003, au moment où j’ai fait ma formation et suis devenue animatrice de yoga du rire, à la question « Note trois choses qui te font rire », j’avais inscrit le nom d’un ami dans mon cahier. Cet ami a toujours le don de me faire rire (de toutes sortes d’insignifiances!!). J’ai pris conscience que nous ne parlions pas très souvent mais qu’à chaque fois que nous le faisions, je riais toujours aux larmes! J’ai donc pris la résolution de multiplier les occasions de lui parler et de le rencontrer. Justement parce que nous rions toujours tous les deux. Je me sens comme si j’avais rechargé ma batterie de bonne humeur. Même si nous nous moquons souvent l’un de l’autre, nous rions toujours de bon cœur et nous laissons avec un cœur plus léger.

Trouver un partenaire de rire peut avoir de nombreux avantages pour votre bien-être physique et émotionnel.

  1. Réduction du stress : Le rire est un moyen naturel de réduire le stress et l’anxiété. Lorsque vous riez, votre corps libère des endorphines, qui sont des hormones qui procurent une sensation de bien-être et de détente.
  2. Amélioration de la santé mentale : Le rire peut également améliorer votre santé mentale en réduisant les symptômes de la dépression et de l’anxiété. Il peut vous aider à vous sentir plus heureux et plus optimiste.
  3. Renforcement des relations sociales : Rire avec les autres peut renforcer les liens sociaux et vous aider à vous sentir plus connecté aux autres. Cela peut également améliorer votre confiance en vous et votre capacité à communiquer avec les autres.
  4. Amélioration de la santé physique : Le rire peut avoir des effets bénéfiques sur votre santé physique en stimulant le système immunitaire, en améliorant la circulation sanguine et en réduisant la douleur.
  5. Réduction de l’isolement : Trouver un partenaire de rire peut vous aider à sortir de l’isolement et à vous engager davantage avec le monde qui vous entoure. Cela peut être particulièrement bénéfique si vous êtes en situation de stress ou de solitude.

En somme, trouver un partenaire de rire peut avoir de nombreux avantages pour votre bien-être général. Alors, n’hésitez pas à rire souvent et à chercher des personnes avec lesquelles vous pouvez partager cette expérience positive.

Vous le faites?

Je vous encourage à trouver un (ou plusieurs!) partenaire de rire!

Ça peut même être un de vos petits-enfants si vous en avez!  C’est formidable de montrer à notre descendance que nous sommes capable d’être enjoué et de rire aux éclats! C’est un enseignement important que de leur apprendre à rire pour le reste de leur vie.

Vraiment, mettez ça sur votre liste de choses à réaliser! Et chérissez vos partenaires de rire.

Tiens, je viens d’appeler le mien et lui ai laissé un message vocal qui le fera sourire c’est certain! Vous voulez savoir ce que je lui ai dit? « Ton texto me dit que tu vas me rappeler. C’est vrai ça?  À quelle heure?  Quel jour? Vas-tu m’appeler pour me confirmer quand? En attendant, je t’appelais pour te dire bonjour… (pause) Bonjour!  Ok Bye! »

Rire, joie et santé

Linda

P.S. Oh et si vous voulez que je sois votre partenaire de rire pendant quelques jours, inscrivez-vous pour les capsules MORAL BOOST!

Vous avez une bonne hygiène de vie?

Grande question. C’est important pour vous d’avoir une bonne hygiène de vie?

Est-ce que vous répondez oui à tout ceci?

  • Vous vous brossez les dents après chaque repas (ou au moins deux fois par jour!).
  • Vous mangez bien.
  • Vous buvez de l’eau.
  • Vous vous lavez.
  • Vous dormez 7 heures par nuit (quand tout va bien!).
  • Vous faites de l’exercice à quelques reprises chaque semaine (même si c’est de la marche, ça compte).
  • Vous prenez un peu de temps de loisirs.
  • Vous voyez des amis.
  • Vous prenez des vacances.
  • Vous riez de bon cœur plusieurs minutes par jour.

Vous avez dit OUI à tout ça?  Vous avez dit NON à un élément ou plus?  Alors il manque sérieusement quelque chose pour que vous ayez une bonne hygiène de vie. Et je suis prête à parier que ce qui manque, c’est le RIRE!

Je me trompe?

Quand on connaît tous les bienfaits d’un bon rire énergique (le genre qui fait bouger le ventre et qui est sonore), on se demande pourquoi on ne se permet pas de le faire assidument et quotidiennement!

Pourquoi on ne rit pas plus?

Parce que nous, les adultes, sommes dans notre tête!  et notre tête est pleine de soucis, de responsabilités, d’idées de performance, etc. Et quand la tête est pleine de « choses sérieuses et importantes », le sens de l’humour n’a pas de place pour s’amuser.

C’est pour ça que j’aime autant le yoga du rire. Parce que ça me permet de garder une bonne hygiène de vie et de rire à volonté même lorsque mon cerveau de grande personne est occupé à régler des problèmes de grande personne!! HAHAHA!

Une expérience

Vous voulez faire une expérience avec moi?

Je vous propose de faire l’exercice de cette vidéo d’une petite minute avec moi. Juste une minute de votre temps.

Et dites-moi si vous avez réussi – mais pour réussir, vous devez VOULOIR rire!

Dites-moi surtout comment vous vous sentez APRÈS coup.

Allez. Une minute. C’est parti!

Rire, joie et santé

Linda